Après s’être satisfait des mesures annoncées par Emmanuelle Macron en direction des entreprises, Ibrahim Patel, le président de la CCIR, a tenu à demander au ministre de l’Économie et des Finances quelques ajustements en direction des entreprises de La Réunion.
En rappelant que le tissu économique de l’île est composé à 73% d’entreprises n’ayant aucun salarié, le président de la CCIR souhaite l’extension du volet 2 du fonds de solidarité national aux entreprises n’ayant justement aucun employé afin de leur permettre d’assurer le paiement des loyers. Il désire également l’annulation des charges sociales et fiscales pour l’ensemble des mois concernés par le confinement.
Ibrahim Patel espère également l’extension du volet 1 du fonds de solidarité national aux entreprises dont le gérant est titulaire d’une pension de retraite et aux entreprises en retard de règlement des charges sociales et fiscales. Une situation qu’il estime en partie due à la crise des gilets jaunes.
La CCIR pense que la mise en place d’un fonds dédié à la reconstitution de la trésorerie des entreprises en difficultés est nécessaire. Cela en supplément du dispositif PGE. Un prêt d’honneur de 30 000 euros maximum pourrait répondre à cette demande.
Enfin, le président de la CCIR attend de l’État qu’il fasse en sorte que les banques et assurances assument pleinement leurs rôles. Ce sont, selon lui, des mesures absolument nécessaires pour sauvegarder le tissu économique de La Réunion.
En rappelant que le tissu économique de l’île est composé à 73% d’entreprises n’ayant aucun salarié, le président de la CCIR souhaite l’extension du volet 2 du fonds de solidarité national aux entreprises n’ayant justement aucun employé afin de leur permettre d’assurer le paiement des loyers. Il désire également l’annulation des charges sociales et fiscales pour l’ensemble des mois concernés par le confinement.
Ibrahim Patel espère également l’extension du volet 1 du fonds de solidarité national aux entreprises dont le gérant est titulaire d’une pension de retraite et aux entreprises en retard de règlement des charges sociales et fiscales. Une situation qu’il estime en partie due à la crise des gilets jaunes.
La CCIR pense que la mise en place d’un fonds dédié à la reconstitution de la trésorerie des entreprises en difficultés est nécessaire. Cela en supplément du dispositif PGE. Un prêt d’honneur de 30 000 euros maximum pourrait répondre à cette demande.
Enfin, le président de la CCIR attend de l’État qu’il fasse en sorte que les banques et assurances assument pleinement leurs rôles. Ce sont, selon lui, des mesures absolument nécessaires pour sauvegarder le tissu économique de La Réunion.