
Les chiffres relatés dans le communiqué transmis par la CAPEB sont parlants : - 90% de commandes en juin 2009 par rapport à la même période l'année dernière. Près de 8.000 emplois sont menacés.
Ces mauvais chiffres sont dus à la baisse de la commande publique de 40% et de la commande privée de 50%.
Les adhérents de la confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) en appellent au bon sens des banques. Sans leurs aides, les entrepreneurs n'ont guère le choix et déposent une à une le bilan (+56% au tribunal de commerce de Saint-Denis). L'un des secteurs le plus touché reste celui du BTP.
"Les lignes de crédits sont supprimés ou réduites, idem pour les lignes d'escomptes, les crédits de trésorerie ou d'équipement sont systématiquement refusés et dans le même temps, de plus en plus de garanties sont exigées aux entreprises".
Les adhérents de la CAPEB déplorent "le mépris des banques à l'égard des TPE/PME qui font l'économie réunionnaise" . Ils indiquent que nombre de rendez-vous seront demandés aux établissements bancaires de l'île afin "d'établir le dialogue et régler les problèmes à l'amiable".
Si les banques refusent, elles devront s'attendre à ce que la CAPEB durcisse le ton.
Ces mauvais chiffres sont dus à la baisse de la commande publique de 40% et de la commande privée de 50%.
Les adhérents de la confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) en appellent au bon sens des banques. Sans leurs aides, les entrepreneurs n'ont guère le choix et déposent une à une le bilan (+56% au tribunal de commerce de Saint-Denis). L'un des secteurs le plus touché reste celui du BTP.
"Les lignes de crédits sont supprimés ou réduites, idem pour les lignes d'escomptes, les crédits de trésorerie ou d'équipement sont systématiquement refusés et dans le même temps, de plus en plus de garanties sont exigées aux entreprises".
Les adhérents de la CAPEB déplorent "le mépris des banques à l'égard des TPE/PME qui font l'économie réunionnaise" . Ils indiquent que nombre de rendez-vous seront demandés aux établissements bancaires de l'île afin "d'établir le dialogue et régler les problèmes à l'amiable".
Si les banques refusent, elles devront s'attendre à ce que la CAPEB durcisse le ton.