
La CGPER a tenu un point presse à Sainte-Marie ce dimanche matin afin de dénoncer le manque d'action face aux pertes d'eau en cette période de sécheresse. "La campagne sucrière s'annonce catastrophique pour les communes du Nord et de l'Est, affirme Jean-Yves Minatchy, président de la CGPER.
Il explique que depuis plusieurs années, bon nombre de communes connaissent une importante baisse de la pluviométrie, allant jusqu'à 1.000 mm par an, comme à Bras-Panon par exemple. "La moyenne des pertes en eau dans le Nord est de 40%, précise-t-il, et entre 40 et 50% dans l'Est". "Or, 25 millions de m3 d'eau par an sont nécessaires pour les champs de canne du Nord et de l'Est, sans compter les élevages, etc", ajoute-t-il.
Indigné, il rappelle que cela fait plus de 10 ans que les communes et le Département avaient été interpellés à ce sujet sans qu'aucune solution ne voit le jour. "Une étude sur les ressources en eau du Conseil général en 2011 montre qu'il y a un réel manque, mais personne ne bouge".
Selon Jean-Yves Minatchy, un diagnostic doit être fait en fonction de chaque commune. Il évoque le "gaspillage" d'eau de la rivière de l'Est qui est déversé dans la mer, soit 700.000 m3 par an. "Une canalisation devrait être installée pour irriguer les champs. Une solution comme ça nous permettrait d'augmenter notre production de 25 à 30%".
La CGPER compte interpeller les autorités sur le problème dès lundi. "Comme d'habitude, on tiendra le temps qu'une solution soit proposée".
Il explique que depuis plusieurs années, bon nombre de communes connaissent une importante baisse de la pluviométrie, allant jusqu'à 1.000 mm par an, comme à Bras-Panon par exemple. "La moyenne des pertes en eau dans le Nord est de 40%, précise-t-il, et entre 40 et 50% dans l'Est". "Or, 25 millions de m3 d'eau par an sont nécessaires pour les champs de canne du Nord et de l'Est, sans compter les élevages, etc", ajoute-t-il.
Indigné, il rappelle que cela fait plus de 10 ans que les communes et le Département avaient été interpellés à ce sujet sans qu'aucune solution ne voit le jour. "Une étude sur les ressources en eau du Conseil général en 2011 montre qu'il y a un réel manque, mais personne ne bouge".
Selon Jean-Yves Minatchy, un diagnostic doit être fait en fonction de chaque commune. Il évoque le "gaspillage" d'eau de la rivière de l'Est qui est déversé dans la mer, soit 700.000 m3 par an. "Une canalisation devrait être installée pour irriguer les champs. Une solution comme ça nous permettrait d'augmenter notre production de 25 à 30%".
La CGPER compte interpeller les autorités sur le problème dès lundi. "Comme d'habitude, on tiendra le temps qu'une solution soit proposée".