“Les discussions sont toujours en cours sur l’avenir de la route du littoral, cela fait partie de la phase 2 du projet", répond d’emblée Eric Boiteux, le directeur de la Direction régionale des routes, en charge de l’entretien de cette route. "Elle sera fermée pour des raisons de sécurité et de responsabilités. Les filets ne seront plus entretenus sur la partie qui sera close”
Si la Région avait déjà écarté à plusieurs reprises les demandes des pousseurs pour en faire une piste sécurisée, l’option d’en faire une voie de transports doux n’est pas non plus dans les cartons. “Une partie doit être démolie. Des bassins de traitement des eaux pour la NRL seront construits à certains endroits, notamment au niveau des digues. Enfin, sur d’autres tronçons, elle sera décaissée afin d’avoir des espaces en cas d’éboulements majeurs”, poursuit Eric Boiteux.
Moins de basculements, donc moins de risques
Avec une partie de la route du littoral en moins, la distance possible de basculement passe de 10 à 3,5 km. “Avec une distance plus faible, nous allons avoir moins de risque d’avoir un véhicule en panne dans le canal bichique. Cela représente 70% de la zone à risque. Statistiquement, le risque d’un éboulement va être plus limité”, explique le directeur de la DRR.
Avec l’arrêt de l’entretien des filets, la surveillance de la falaise va être aussi diminuée. “Pas plus qu’il n’en faut”, souffle Eric Boiteux. “Nous allons bien sûr garder un œil sur le secteur Grande-Chaloupe/ Ravine Saint-Jacques, car il y a des habitations”.
Autre changement, les pluviomètres de la Grande Chaloupe et de la Pointe du Gouffre seront déplacés. Ce dernier sera, par exemple, déménagé au point de raccordement entre la NRL et la RL.
Si la Région avait déjà écarté à plusieurs reprises les demandes des pousseurs pour en faire une piste sécurisée, l’option d’en faire une voie de transports doux n’est pas non plus dans les cartons. “Une partie doit être démolie. Des bassins de traitement des eaux pour la NRL seront construits à certains endroits, notamment au niveau des digues. Enfin, sur d’autres tronçons, elle sera décaissée afin d’avoir des espaces en cas d’éboulements majeurs”, poursuit Eric Boiteux.
Moins de basculements, donc moins de risques
Avec une partie de la route du littoral en moins, la distance possible de basculement passe de 10 à 3,5 km. “Avec une distance plus faible, nous allons avoir moins de risque d’avoir un véhicule en panne dans le canal bichique. Cela représente 70% de la zone à risque. Statistiquement, le risque d’un éboulement va être plus limité”, explique le directeur de la DRR.
Avec l’arrêt de l’entretien des filets, la surveillance de la falaise va être aussi diminuée. “Pas plus qu’il n’en faut”, souffle Eric Boiteux. “Nous allons bien sûr garder un œil sur le secteur Grande-Chaloupe/ Ravine Saint-Jacques, car il y a des habitations”.
Autre changement, les pluviomètres de la Grande Chaloupe et de la Pointe du Gouffre seront déplacés. Ce dernier sera, par exemple, déménagé au point de raccordement entre la NRL et la RL.