
Revenus depuis deux jours de Paris où ils avaient rencontré Nicolas Sarkozy à l’Elysée, les parents d’Anthony, Alexis et Madeleine, souhaitent désormais se retrouver en famille. Accablés de questions des médias depuis plusieurs semaines, la maman d’Anthony a juste, poliment, expliqué par téléphone, "je suis fatiguée, je n’ai rien à dire".
L’oncle d’Anthony, Théo Rivière, soutient la position du Parlement. "Etre en Afghanistan c’est préserver la paix en France. Nous sommes une famille de militaire, et chacun sait les risques encourus".
Théo Rivière avait discuté avec Anthony en décembre. "Il était hors de question pour lui d’aller à l’arrière, du côté de la logistique. Il était volontaire pour aller au front. Il voulait ressentir cette adrénaline qui l’a incité à devenir militaire, et se battre pour la liberté".
Théo Rivière souffre de la perte d’un membre de sa famille et comprend la douleur des parents, mais il avoue également "être conscient qu’il mettait sa vie en danger. Ce sont les risques du métier, autant que les pompiers qui se jettent dans les flammes pour sauver des vies".
Pour l’oncle d’Anthony, il faudrait rediscuter des actions des troupes françaises en Afghanistan, redéfinir leur rôle "mais, les retirer, c’est ouvrir des brèches à l’émancipation du terrorisme".
L’oncle d’Anthony, Théo Rivière, soutient la position du Parlement. "Etre en Afghanistan c’est préserver la paix en France. Nous sommes une famille de militaire, et chacun sait les risques encourus".
Théo Rivière avait discuté avec Anthony en décembre. "Il était hors de question pour lui d’aller à l’arrière, du côté de la logistique. Il était volontaire pour aller au front. Il voulait ressentir cette adrénaline qui l’a incité à devenir militaire, et se battre pour la liberté".
Théo Rivière souffre de la perte d’un membre de sa famille et comprend la douleur des parents, mais il avoue également "être conscient qu’il mettait sa vie en danger. Ce sont les risques du métier, autant que les pompiers qui se jettent dans les flammes pour sauver des vies".
Pour l’oncle d’Anthony, il faudrait rediscuter des actions des troupes françaises en Afghanistan, redéfinir leur rôle "mais, les retirer, c’est ouvrir des brèches à l’émancipation du terrorisme".