La FSU, l'UNSA-Education, le SGEN-CFDT, la FERC-CGT, SUD-Education, SNUDI -FO et SAIPER UDAS appellent le mercredi 6 novembre à manifester pour "une réelle amélioration des conditions de travail des directeurs et directrices d’école, des enseignant-es et de tous les personnels qui font vivre les écoles, les établissements et les services" et "une meilleure reconnaissance de leurs professionnalités".
Ils demandent "une organisation moins verticale et moins injonctive des écoles, établissements et services. L’organisation d’un travail plus collectif et à des rythmes plus respectueux de la qualité de vie au travail".
De même, ils profiteront de cette journée pour dénoncer, une nouvelle fois, la suppression programmée des CHSCT qui aggravera la prise en charge de celles et ceux qui sont en souffrance et que le suicide de Christine Renon entre autres ne se reproduise.
Ce même jour, le CHSCT de Pantin doit se réunir pour déterminer si le suicide de Mme Renon est imputable au service. Il nous faut l’accompagner jusqu’au bout.
Pour rappel, Christine Renon était directrice d'une école à Pantin, dans laquelle elle a mis fin à ses jours pour cause "d'épuisement". Avant de se suicider, elle avait adressé des courriers expliquant un profond épuisement professionnel et de mauvaises conditions de travail.
Ils demandent "une organisation moins verticale et moins injonctive des écoles, établissements et services. L’organisation d’un travail plus collectif et à des rythmes plus respectueux de la qualité de vie au travail".
De même, ils profiteront de cette journée pour dénoncer, une nouvelle fois, la suppression programmée des CHSCT qui aggravera la prise en charge de celles et ceux qui sont en souffrance et que le suicide de Christine Renon entre autres ne se reproduise.
Ce même jour, le CHSCT de Pantin doit se réunir pour déterminer si le suicide de Mme Renon est imputable au service. Il nous faut l’accompagner jusqu’au bout.
Pour rappel, Christine Renon était directrice d'une école à Pantin, dans laquelle elle a mis fin à ses jours pour cause "d'épuisement". Avant de se suicider, elle avait adressé des courriers expliquant un profond épuisement professionnel et de mauvaises conditions de travail.