
Ce fait maintenant plusieurs mois que les salariés de l’ADI sont en lutte. Au mois de décembre, la présidente du Conseil Général, Nassimah Dindar, annonçait l’éventuelle disparition de l’ADI, par manque de moyens financiers.
Aujourd’hui, après de multiples mobilisations de la part des salariés de l’ADI, des avancées incitent les représentants syndicaux à se réunir pour décider de la suite des événements: "l’intersyndicale se réunit pour discuter des points qui ont été accordés et de quelle façon les discussions peuvent reprendre" explique Patricia Doxiville de la SAFPTR.
Ce qui a apaisé les esprits et fait levé le préavis de grève est l’accord du Conseil d’Administration que trois personnes de l’intersyndicale soient présentes dans la réunion qui s’est déroulée mardi.
Le Conseil d’administration a également accepté que la motion soit présentée aux membres. Celle-ci demande notamment que les missions du RSA soient confiées à l’ADI, souhaite "la définition d’un calendrier pour préparer notre établissement à une évolution et à un élargissement de ses compétences et de ses champs de missions” et "l’amendement des textes en vigueur afin de conforter et de rendre effective l’autonomie de l’ADI dans ses missions d’insertion sociale et professionnelle et de stabiliser l’établissement en tant qu’opérateur gestionnaire central".
Aujourd’hui, après de multiples mobilisations de la part des salariés de l’ADI, des avancées incitent les représentants syndicaux à se réunir pour décider de la suite des événements: "l’intersyndicale se réunit pour discuter des points qui ont été accordés et de quelle façon les discussions peuvent reprendre" explique Patricia Doxiville de la SAFPTR.
Ce qui a apaisé les esprits et fait levé le préavis de grève est l’accord du Conseil d’Administration que trois personnes de l’intersyndicale soient présentes dans la réunion qui s’est déroulée mardi.
Le Conseil d’administration a également accepté que la motion soit présentée aux membres. Celle-ci demande notamment que les missions du RSA soient confiées à l’ADI, souhaite "la définition d’un calendrier pour préparer notre établissement à une évolution et à un élargissement de ses compétences et de ses champs de missions” et "l’amendement des textes en vigueur afin de conforter et de rendre effective l’autonomie de l’ADI dans ses missions d’insertion sociale et professionnelle et de stabiliser l’établissement en tant qu’opérateur gestionnaire central".