Les faits qui lui sont reprochés font froid dans le dos. Mais Marcel Cazal, 28 ans, demande à nouveau d’être mis en liberté en attendant son procès. Il est en effet en détention provisoire depuis mai 2018 car soupçonné d’avoir violé puis tenté d’assassiner sa compagne et la mère de son enfant. Sa demande de juin dernier lui a été refusée.
Ce mardi devant la chambre d’instruction, Marcel Cazal a réitéré ses propos : il a avoué l’avoir violentée mais rien de plus. Peu d’évolution depuis sa dernière demande ; d’autant plus qu’il manque les justificatifs de domicile et promesses d’embauche pour appuyer sa demande. "C’est mieux de tout avoir lorsque vous faites une demande de mise en liberté", lui explique le juge.
Pour rappel, les faits se déroulent dans un premier temps le 13 mai 2018 alors que sa compagne rentre de boîte de nuit. Selon ses dires, il est énervé à cause d’une photo sur Facebook qu’elle aurait "liké". Il la claque, ce qui la projette au sol, puis lui assène plusieurs coups.
Mais ce n’est pas tout ; loin de là. Le lendemain elle reçoit des menaces par texto. Puis il lui demande un rapport sexuel. Elle refuse. Il s’arme alors d’un manche à balai et d’un couteau et l’attache, la bâillonne, l’allonge sur le ventre sur le lit puis la viole. Il l’emmène ensuite dans la salle de bain et la pose dans la baignoire avant de la remplir d’eau. Il va alors chercher un sèche-cheveux pour menacer de le jeter dans l’eau. Elle parvient à le dissuader et il la libère. Elle se rend alors chez sa mère qui l’emmène aux urgences avant qu’elle ne porte plainte.
Ayant eu écho de la plainte, il revient deux jours plus tard au domicile. Dans le jardin, il avale du produit de lavage de voiture. Il est hospitalisé et placé sous coma artificiel. Un acte, selon lui, en réponse à « ses mensonges ». Sa compagne se serait automutilée afin de monter un complot.
Si sa version est constante, d’autres éléments vont peser dans la balance. À 28 ans, il compte par exemple neuf condamnations et plusieurs incidents en détention. La chambre d’instruction rendra sa décision le 22 octobre prochain.
Ce mardi devant la chambre d’instruction, Marcel Cazal a réitéré ses propos : il a avoué l’avoir violentée mais rien de plus. Peu d’évolution depuis sa dernière demande ; d’autant plus qu’il manque les justificatifs de domicile et promesses d’embauche pour appuyer sa demande. "C’est mieux de tout avoir lorsque vous faites une demande de mise en liberté", lui explique le juge.
Pour rappel, les faits se déroulent dans un premier temps le 13 mai 2018 alors que sa compagne rentre de boîte de nuit. Selon ses dires, il est énervé à cause d’une photo sur Facebook qu’elle aurait "liké". Il la claque, ce qui la projette au sol, puis lui assène plusieurs coups.
Mais ce n’est pas tout ; loin de là. Le lendemain elle reçoit des menaces par texto. Puis il lui demande un rapport sexuel. Elle refuse. Il s’arme alors d’un manche à balai et d’un couteau et l’attache, la bâillonne, l’allonge sur le ventre sur le lit puis la viole. Il l’emmène ensuite dans la salle de bain et la pose dans la baignoire avant de la remplir d’eau. Il va alors chercher un sèche-cheveux pour menacer de le jeter dans l’eau. Elle parvient à le dissuader et il la libère. Elle se rend alors chez sa mère qui l’emmène aux urgences avant qu’elle ne porte plainte.
Ayant eu écho de la plainte, il revient deux jours plus tard au domicile. Dans le jardin, il avale du produit de lavage de voiture. Il est hospitalisé et placé sous coma artificiel. Un acte, selon lui, en réponse à « ses mensonges ». Sa compagne se serait automutilée afin de monter un complot.
Si sa version est constante, d’autres éléments vont peser dans la balance. À 28 ans, il compte par exemple neuf condamnations et plusieurs incidents en détention. La chambre d’instruction rendra sa décision le 22 octobre prochain.