Difficile de ne pas revenir ce matin sur la déchéance publique de Thierry Robert.
Et difficile de ne pas revenir en arrière. Rappelez-vous de l’arrogance du personnage et de ses formules à l’emporte-pièces. Qui ne se souvient pas de son « Ti coq, mi vient pou ou » à l’adresse de Didier Robert… J’ai envie de lui dire ce matin : « Ti coq, où ça ou lé ? ».
Lui qui se prenait pour le supérieur hiérarchique du préfet, qui s’est cru même un moment ministre, puis ami intime des Macron… Quelle claque ! Et en public encore.
Ou ça i lé Emmanuel Macron aujourd’hui ? Pas de chance. Si le Conseil constitutionnel avait pris sa décision quelques jours plus tôt, ou n’aurait pu demande a lu donne a ou la grâce présidentielle ?
Et pour revenir au Ti coq, j’en connais un qui doit bien rire aujourd’hui…
Quel contraste ! D’un côté, Thierry Robert, un pitre qui comme la grenouille se croyait plus grosse que le bœuf et qui finit ridiculisé. Il était déjà la risée des Réunionnais depuis ses pitreries devant la préfecture ou encore avec ses grèves de la faim qui ne durent que quelques heures. Et je ne parle là que des anecdotes les plus croustillantes car sinon une dizaine d’éditos ne seraient pas de trop. Maintenant, tous les Français savent ce qu’il vaut.
Et de l’autre, Didier Robert, quelqu’un qui est cité en exemple par Emmanuel Macron lors de son discours en Guyane, et dont le projet de la Nouvelle route du Littoral est soutenu par tous les ministres du gouvernement en déplacement à la Réunion.
Suis certain qu’il doit y avoir des jours où le président de Région doit regretter de porter le même nom que le triste clown de Saint-Leu !
Et dire que celui qu’il faut bien appeler aujourd’hui l’ex-député de St-Leu se prétendait être un chef d’entreprise hors pair. Comme Zinfos l’a révélé samedi, il aurait suffi qu’il envoie une simple lettre recommandée au fisc pour bloquer toute la procédure et conserver son mandat de parlementaire ! Pathétique ! J’espère qu’il gère mieux ses entreprises qu’il ne se défend à titre personnel…
Il prétendait aussi toucher 90.000€ par mois. Comment dans ces conditions n’a-t-il pas réussi à payer les 50.000€ qu’il devait aux impôts ? Ah oui, il n’a pas pu parce qu’il avait organisé son insolvabilité afin de ne pas payer les 500.000€ que le tribunal l’avait condamné à payer aux personnes qu’il avait escroquées en leur vendant des appartements. Pour éviter d’être contraint à les payer, il a fait don de toutes ses entreprises à ses enfants et avait renoncé à son salaire, afin qu’il ne puisse être saisi par l’huissier. Du coup, il s’est retrouvé dans l’incapacité de payer ses dettes au fisc. Tel est pris qui croyait prendre… Le coup de l’arroseur arrosé…
Finalement, les Réunionnais ne perdent pas grand chose. Thierry Robert n’assistait pratiquement jamais aux séances à l’Assemblée nationale et il avait une activité parlementaire quasi nulle. Bon débarras…
Et difficile de ne pas revenir en arrière. Rappelez-vous de l’arrogance du personnage et de ses formules à l’emporte-pièces. Qui ne se souvient pas de son « Ti coq, mi vient pou ou » à l’adresse de Didier Robert… J’ai envie de lui dire ce matin : « Ti coq, où ça ou lé ? ».
Lui qui se prenait pour le supérieur hiérarchique du préfet, qui s’est cru même un moment ministre, puis ami intime des Macron… Quelle claque ! Et en public encore.
Ou ça i lé Emmanuel Macron aujourd’hui ? Pas de chance. Si le Conseil constitutionnel avait pris sa décision quelques jours plus tôt, ou n’aurait pu demande a lu donne a ou la grâce présidentielle ?
Et pour revenir au Ti coq, j’en connais un qui doit bien rire aujourd’hui…
Quel contraste ! D’un côté, Thierry Robert, un pitre qui comme la grenouille se croyait plus grosse que le bœuf et qui finit ridiculisé. Il était déjà la risée des Réunionnais depuis ses pitreries devant la préfecture ou encore avec ses grèves de la faim qui ne durent que quelques heures. Et je ne parle là que des anecdotes les plus croustillantes car sinon une dizaine d’éditos ne seraient pas de trop. Maintenant, tous les Français savent ce qu’il vaut.
Et de l’autre, Didier Robert, quelqu’un qui est cité en exemple par Emmanuel Macron lors de son discours en Guyane, et dont le projet de la Nouvelle route du Littoral est soutenu par tous les ministres du gouvernement en déplacement à la Réunion.
Suis certain qu’il doit y avoir des jours où le président de Région doit regretter de porter le même nom que le triste clown de Saint-Leu !
Et dire que celui qu’il faut bien appeler aujourd’hui l’ex-député de St-Leu se prétendait être un chef d’entreprise hors pair. Comme Zinfos l’a révélé samedi, il aurait suffi qu’il envoie une simple lettre recommandée au fisc pour bloquer toute la procédure et conserver son mandat de parlementaire ! Pathétique ! J’espère qu’il gère mieux ses entreprises qu’il ne se défend à titre personnel…
Il prétendait aussi toucher 90.000€ par mois. Comment dans ces conditions n’a-t-il pas réussi à payer les 50.000€ qu’il devait aux impôts ? Ah oui, il n’a pas pu parce qu’il avait organisé son insolvabilité afin de ne pas payer les 500.000€ que le tribunal l’avait condamné à payer aux personnes qu’il avait escroquées en leur vendant des appartements. Pour éviter d’être contraint à les payer, il a fait don de toutes ses entreprises à ses enfants et avait renoncé à son salaire, afin qu’il ne puisse être saisi par l’huissier. Du coup, il s’est retrouvé dans l’incapacité de payer ses dettes au fisc. Tel est pris qui croyait prendre… Le coup de l’arroseur arrosé…
Finalement, les Réunionnais ne perdent pas grand chose. Thierry Robert n’assistait pratiquement jamais aux séances à l’Assemblée nationale et il avait une activité parlementaire quasi nulle. Bon débarras…