Nous étions prévenus. Les syndicats nous avaient averti. En raison de la grève nationale de la fonction publique, des manifestations étaient à prévoir hier et ça risquait d’être la galère.
Mais personne n’aurait pu imaginer que ça aurait pu être un tel bordel. Passez moi l’expression mais je n’en vois pas d’autre qui convienne à une telle situation.
Mettez-vous à la place du citoyen lambda habitant dans le Sud ou dans l’Ouest par exemple, et voulant se rendre à Saint-Denis. Comme il était prévenu des manifestations, il avait pris ses précautions pour partir tôt.
Et comme de bien entendu, il a pris la route des Tamarins. Mais voilà qu’un accident entre deux camions se produit vers 6h30 ce matin sur la route du Littoral et bloque la route dans les deux sens.
Route fermée complètement à la circulation. Il lui faut donc emprunter la route de la Montagne. Première galère. Une heure de route au minimum en plus. Mais voilà que le chauffeur d'un bus fait une mauvaise manœuvre et que son engin bascule partiellement dans le caniveau. Obligeant les véhicules à franchir l'obstacle en alternance. Résultat : un bouchon de plusieurs kilomètres.
Une fois le bus dépassé, les automobilistes pensaient en avoir fini avec la galère. Que nenni ! Les embouteillages ne faisaient que commencer. Pour quelle raison ? Saturation de la route, mais aussi ces maudits camions poubelles qui faisaient leur collecte quotidienne…
Et même quand la route du Littoral a été rouverte en mode basculée, les bouchons n’ont pas disparu.
Et s’il fallait en rajouter, un accident un peu plus tard entre une voiture et une moto a en plus, à nouveau bloqué la circulation, avec des embouteillages qui remontaient jusqu’à la rivière des Galets.
Certains ont mis plus de quatre heures pour faire Saint-Paul/Saint-Denis !
Restait la solution de passer par les Plaines. Mauvaise pioche ! Un cortège de grévistes de la fonction publique avait entamé depuis 8h du matin une opération escargot entre Saint-Benoit et St Denis ! Avec en prime un blocage du Barachois en milieu de matinée…
Je vous l’ai dit : Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
Il y a des jours comme ça où on se dit qu’on aurait mieux fait de rester au lit…
Mais personne n’aurait pu imaginer que ça aurait pu être un tel bordel. Passez moi l’expression mais je n’en vois pas d’autre qui convienne à une telle situation.
Mettez-vous à la place du citoyen lambda habitant dans le Sud ou dans l’Ouest par exemple, et voulant se rendre à Saint-Denis. Comme il était prévenu des manifestations, il avait pris ses précautions pour partir tôt.
Et comme de bien entendu, il a pris la route des Tamarins. Mais voilà qu’un accident entre deux camions se produit vers 6h30 ce matin sur la route du Littoral et bloque la route dans les deux sens.
Route fermée complètement à la circulation. Il lui faut donc emprunter la route de la Montagne. Première galère. Une heure de route au minimum en plus. Mais voilà que le chauffeur d'un bus fait une mauvaise manœuvre et que son engin bascule partiellement dans le caniveau. Obligeant les véhicules à franchir l'obstacle en alternance. Résultat : un bouchon de plusieurs kilomètres.
Une fois le bus dépassé, les automobilistes pensaient en avoir fini avec la galère. Que nenni ! Les embouteillages ne faisaient que commencer. Pour quelle raison ? Saturation de la route, mais aussi ces maudits camions poubelles qui faisaient leur collecte quotidienne…
Et même quand la route du Littoral a été rouverte en mode basculée, les bouchons n’ont pas disparu.
Et s’il fallait en rajouter, un accident un peu plus tard entre une voiture et une moto a en plus, à nouveau bloqué la circulation, avec des embouteillages qui remontaient jusqu’à la rivière des Galets.
Certains ont mis plus de quatre heures pour faire Saint-Paul/Saint-Denis !
Restait la solution de passer par les Plaines. Mauvaise pioche ! Un cortège de grévistes de la fonction publique avait entamé depuis 8h du matin une opération escargot entre Saint-Benoit et St Denis ! Avec en prime un blocage du Barachois en milieu de matinée…
Je vous l’ai dit : Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
Il y a des jours comme ça où on se dit qu’on aurait mieux fait de rester au lit…