La pollution atmosphérique est responsable de près de 50.000 morts par an en France. Or, le secteur des transports représente 35 % des émissions de CO2, dont les deux tiers émanent des voitures particulières. D’où les discours des écologistes prônant le remplacement des voitures diesel et essence par des voitures électriques, présentées comme propres, tant sur le plan de la pollution atmosphérique que sonore.
Il s’agit ni plus ni moins que d’une véritable arnaque.
D’abord, pour le moment, les voitures électriques sont quasi exclusivement réservées aux déplacements en ville, du fait de leur faible autonomie. Mais surtout, leur fabrication émet plus de gaz à effet de serre que celle d’une voiture thermique, notamment pour fabriquer les batteries. Deux fois, voire trois fois plus pour une voiture équipée d’une batterie de 50 kwh !!!
Prenez également en compte qu’une fois les batteries arrivées en fin de vie, il faut les recycler, ce qui est également consommateur d’énergie. Sans compter qu’il peut arriver qu’elles soient abandonnées en pleine nature, avec la pollution que cela entraine. Et ca arrive plus souvent qu’on ne le croit comme le montrent les 70 batteries récemment retrouvées à la Réunion dans l’enceinte du Parc national…
Mais surtout, pour recharger les batteries, il faut produire de l’électricité qui provient à plus de 40 %, à la Réunion comme dans le monde, de centrales à charbon. Très polluantes. Seule exception, la France où les 3/4 de l’électricité proviennent de l’énergie nucléaire. Energie nucléaire à laquelle sont opposés les écologistes. Allez y comprendre quelque chose…
Au passage, ça me rappelle le fameux tram-train cher à feu Paul Vergès, que tout le monde présentait comme propre, car électrique… Et qui devait être alimenté en électricité par une centrale à charbon installée au Port !
A la Réunion, le solaire représente 8,5% et est appelé à se développer. Voilà la solution, pourrait-on dire… Pas vraiment car la fabrication des panneaux réclame une grosse consommation d’énergie pour fondre le verre et la silice, sans compter que la plupart des installations réclament aussi des batteries. Et les filières de recyclage des panneaux en fin de vie n’en sont encore qu’à leurs balbutiements.
Si l’électricité pollue, on pourrait essayer les moteurs à air comprimé. Problème : le fabriquer réclame aussi une grande quantité d’électricité ! Les véhicules fonctionnant à l’hydrogène ou au gaz sont aussi peut-être des solutions, mais on ne semble pas les privilégier, leur préférant l’électrique. Pour une raison qu’on a du mal à comprendre.
La solution réside donc dans les transports en commun. Encore faut-il qu’ils soient performants, que les bus soient modernes, qu’ils passent à heures régulières et ne coûtent pas trop cher.
Sinon, il reste le vélo à assistance électrique. Mais là, bon courage si vous habitez dans les hauts et devez venir travailler en ville…
Il s’agit ni plus ni moins que d’une véritable arnaque.
D’abord, pour le moment, les voitures électriques sont quasi exclusivement réservées aux déplacements en ville, du fait de leur faible autonomie. Mais surtout, leur fabrication émet plus de gaz à effet de serre que celle d’une voiture thermique, notamment pour fabriquer les batteries. Deux fois, voire trois fois plus pour une voiture équipée d’une batterie de 50 kwh !!!
Prenez également en compte qu’une fois les batteries arrivées en fin de vie, il faut les recycler, ce qui est également consommateur d’énergie. Sans compter qu’il peut arriver qu’elles soient abandonnées en pleine nature, avec la pollution que cela entraine. Et ca arrive plus souvent qu’on ne le croit comme le montrent les 70 batteries récemment retrouvées à la Réunion dans l’enceinte du Parc national…
Mais surtout, pour recharger les batteries, il faut produire de l’électricité qui provient à plus de 40 %, à la Réunion comme dans le monde, de centrales à charbon. Très polluantes. Seule exception, la France où les 3/4 de l’électricité proviennent de l’énergie nucléaire. Energie nucléaire à laquelle sont opposés les écologistes. Allez y comprendre quelque chose…
Au passage, ça me rappelle le fameux tram-train cher à feu Paul Vergès, que tout le monde présentait comme propre, car électrique… Et qui devait être alimenté en électricité par une centrale à charbon installée au Port !
A la Réunion, le solaire représente 8,5% et est appelé à se développer. Voilà la solution, pourrait-on dire… Pas vraiment car la fabrication des panneaux réclame une grosse consommation d’énergie pour fondre le verre et la silice, sans compter que la plupart des installations réclament aussi des batteries. Et les filières de recyclage des panneaux en fin de vie n’en sont encore qu’à leurs balbutiements.
Si l’électricité pollue, on pourrait essayer les moteurs à air comprimé. Problème : le fabriquer réclame aussi une grande quantité d’électricité ! Les véhicules fonctionnant à l’hydrogène ou au gaz sont aussi peut-être des solutions, mais on ne semble pas les privilégier, leur préférant l’électrique. Pour une raison qu’on a du mal à comprendre.
La solution réside donc dans les transports en commun. Encore faut-il qu’ils soient performants, que les bus soient modernes, qu’ils passent à heures régulières et ne coûtent pas trop cher.
Sinon, il reste le vélo à assistance électrique. Mais là, bon courage si vous habitez dans les hauts et devez venir travailler en ville…