Je suis désespéré de n’entendre autour de moi que des gens se plaindre. A les écouter, Macron serait le responsable de tous leurs malheurs, le gouvernement les harcèlerait, voire même les espionnerait. Leurs voisins, n’en parlons pas.
Tous les matins, ils se lèvent du pied gauche.
Au passage, notons que ce sont les mêmes qui vous avouent sans honte qu’ils ne sont pas allés voter.
Le phénomène n’est pas nouveau, mais il semblerait qu’il prenne de l’ampleur avec les réseaux sociaux.
Ceux qui n’ont rien à dire ou qui approuvent, se taisent. Du coup, ne parlent et ne commentent sur Facebook et dans les commentaires des sites en ligne que ceux qui sont des éternels insatisfaits, qui voient tout en noir.
Qu’est-ce qui m’a donné envie de vous dire ça ? Les réactions sous plusieurs articles sur le net révélant que Emmanuel Macron payait tous ses frais personnels depuis son arrivée à l’Elysée. Depuis les croquettes pour le chien, en passant par le dentifrice, les chambres d'hôtel lors des déplacements, l’électricité de l’Elysée, et même les impôts locaux...
François Hollande le faisait également mais pas Nicolas Sarkozy. Et ne parlons même pas de François Mitterrand qui logeait sa maitresse et sa fille dans un palais de la République, et les faisaient garder par une armée de policiers, le tout aux frais de l’Etat…
Il faut remonter au général de Gaulle pour retrouver un homme d’Etat, un vrai, qui prenait à cœur de payer de sa poche toutes ses dépenses personnelles.
Même le statut de la « première dame » a été clarifié. Brigitte Macron ne se fait pas offrir des robes par les grands couturiers comme le faisaient certaines de celles qui l’ont précédée. On lui prête des vêtements pour les cérémonies officielles où elle représente la France, et elle les rend juste après. Même son rôle a été clarifié par une « charte de la transparence ». Elle dispose de quatre collaborateurs au sein de l'Élysée, tandis que Valérie Trierweiler en avait cinq et Carla Bruni-Sarkozy, huit.
Devant tous ces points positifs, on pouvait s’attendre à des félicitations. Au lieu de cela, regardez sur les réseaux sociaux, on n’assiste qu’à un déferlement de haine, d’insultes, et de critiques…
Et c’est pareil dans la vie de tous les jours. Les gestes d’incivilité se multiplient et ce sont souvent ceux-là même qui sont en faute qui se mettent en colère et vous insultent.
Souriez à la vie. Vous verrez, vous ne vous en porterez que mieux…
Tous les matins, ils se lèvent du pied gauche.
Au passage, notons que ce sont les mêmes qui vous avouent sans honte qu’ils ne sont pas allés voter.
Le phénomène n’est pas nouveau, mais il semblerait qu’il prenne de l’ampleur avec les réseaux sociaux.
Ceux qui n’ont rien à dire ou qui approuvent, se taisent. Du coup, ne parlent et ne commentent sur Facebook et dans les commentaires des sites en ligne que ceux qui sont des éternels insatisfaits, qui voient tout en noir.
Qu’est-ce qui m’a donné envie de vous dire ça ? Les réactions sous plusieurs articles sur le net révélant que Emmanuel Macron payait tous ses frais personnels depuis son arrivée à l’Elysée. Depuis les croquettes pour le chien, en passant par le dentifrice, les chambres d'hôtel lors des déplacements, l’électricité de l’Elysée, et même les impôts locaux...
François Hollande le faisait également mais pas Nicolas Sarkozy. Et ne parlons même pas de François Mitterrand qui logeait sa maitresse et sa fille dans un palais de la République, et les faisaient garder par une armée de policiers, le tout aux frais de l’Etat…
Il faut remonter au général de Gaulle pour retrouver un homme d’Etat, un vrai, qui prenait à cœur de payer de sa poche toutes ses dépenses personnelles.
Même le statut de la « première dame » a été clarifié. Brigitte Macron ne se fait pas offrir des robes par les grands couturiers comme le faisaient certaines de celles qui l’ont précédée. On lui prête des vêtements pour les cérémonies officielles où elle représente la France, et elle les rend juste après. Même son rôle a été clarifié par une « charte de la transparence ». Elle dispose de quatre collaborateurs au sein de l'Élysée, tandis que Valérie Trierweiler en avait cinq et Carla Bruni-Sarkozy, huit.
Devant tous ces points positifs, on pouvait s’attendre à des félicitations. Au lieu de cela, regardez sur les réseaux sociaux, on n’assiste qu’à un déferlement de haine, d’insultes, et de critiques…
Et c’est pareil dans la vie de tous les jours. Les gestes d’incivilité se multiplient et ce sont souvent ceux-là même qui sont en faute qui se mettent en colère et vous insultent.
Souriez à la vie. Vous verrez, vous ne vous en porterez que mieux…