
L’économie réunionnaise peine depuis la crise à retrouver des relais de croissance efficaces. Le manque de lisibilité sur les perspectives économiques locales et les tensions entourant la crise de la dette en Europe pèsent sur la confiance des acteurs économiques. Après une orientation favorable au premier trimestre 2011, la situation conjoncturelle locale ne cesse de se contracter sur le reste de l’année, à l’image de la situation nationale.
L’investissement privé ne redémarre pas, tandis que le logement social et la commande publique restent dynamiques. La consommation des ménages demeure bien orientée sur l’année.
A l’échelle sectorielle, les évolutions sont contrastées. Les secteurs des industries agro-alimentaires, de l’agriculture et du tourisme ont bénéficié d’un certain regain d’activité. Le constat est plus mitigé dans les industries manufacturières, tandis que le courant d’affaires est mal orienté dans le commerce et les services marchands.
Le secteur du BTP reste fragile même si la relance de la construction de logements sociaux a permis de maintenir l’activité. Le marché du travail continue de se dégrader mais à rythme moins prononcé que les années précédentes.
Dans ce contexte, l’activité de financement de l’économie par le système bancaire local est restée relativement peu dynamique en 2011, comme la collecte d’épargne. Le risque de crédit porté par les établissements de crédit se stabilise, après avoir très fortement progressé depuis 2009.
L’investissement privé ne redémarre pas, tandis que le logement social et la commande publique restent dynamiques. La consommation des ménages demeure bien orientée sur l’année.
A l’échelle sectorielle, les évolutions sont contrastées. Les secteurs des industries agro-alimentaires, de l’agriculture et du tourisme ont bénéficié d’un certain regain d’activité. Le constat est plus mitigé dans les industries manufacturières, tandis que le courant d’affaires est mal orienté dans le commerce et les services marchands.
Le secteur du BTP reste fragile même si la relance de la construction de logements sociaux a permis de maintenir l’activité. Le marché du travail continue de se dégrader mais à rythme moins prononcé que les années précédentes.
Dans ce contexte, l’activité de financement de l’économie par le système bancaire local est restée relativement peu dynamique en 2011, comme la collecte d’épargne. Le risque de crédit porté par les établissements de crédit se stabilise, après avoir très fortement progressé depuis 2009.