
12000 personnes ont signé ce lundi matin (actualisé à 11H) la pétition demandant le départ illico presto des candidats de la téléréalité.
Trois d’entre eux doivent néanmoins attendre leur sort judiciaire avant de pouvoir envisager de faire leurs valises.
Hier soir, nous relayions la pétition mise en ligne quelques heures après cette bagarre surréaliste survenue dans la partie restauration de l’hôtel Mercure Creolia situé à mi-hauteur de Saint-Denis.
Le véritable initiateur de cette pétition n’est pas un inconnu. Il s’agit de Perceval Gaillard, membre de La France Insoumise. Après un quiproquo malheureux faisant d’une personne s’étant présentée comme l’un des administrateurs de la page de cette pétition, voici donc Perceval Gaillard nous exposer son sentiment alors que le tournage des Vacances des Anges 4 est parti pour continuer malgré cet incroyable ramdam.
Perceval Gaillard est aussi concerné en tant qu’élu saint-paulois. La ville de l’ouest sert de décor au tournage puisque les participants au programme télé de NRJ12 doivent tourner dans une villa de luxe sur les contreforts de Saint-Gilles.
"L’exclusion ne suffit pas"
"L’objectif de cette pétition c’était d’appeler à l’annulation du tournage des Anges de la Téléréalité au vu des actes gravissimes qui se sont déroulés", expose naturellement Perceval Gaillard.
"Agresser un maire et ses enfants, c’est agresser toute La Réunion. On voit bien que la mobilisation populaire est forte, et leur départ serait à la fois un respect pour Joé Bédier mais aussi pour La Réunion". Perceval Gaillard y voit aussi un signe d’apaisement incontournable auquel la société de production doit se résoudre au vu de l’ampleur "des risques" si le tournage venait à être maintenu.
"C’est la solution la plus raisonnable pour tout le monde. L’exclusion des participants impliqués ne suffit pas", d'après lui. "Leur évacuation (des protagonistes en garde à vue, ndlr), c’est le minimum. Mais par respect, on ne peut pas accepter que le tournage soit maintenu. Dans d’autres endroits ça ne se passerait pas non plus donc à La Réunion on n’accepte pas ça", se positionne-t-il en faveur d’un arrêt pur et simple du tournage car, insiste-t-il, "il y a de vrais risques sur le plan du maintien de l’ordre public."
Trois d’entre eux doivent néanmoins attendre leur sort judiciaire avant de pouvoir envisager de faire leurs valises.
Hier soir, nous relayions la pétition mise en ligne quelques heures après cette bagarre surréaliste survenue dans la partie restauration de l’hôtel Mercure Creolia situé à mi-hauteur de Saint-Denis.
Le véritable initiateur de cette pétition n’est pas un inconnu. Il s’agit de Perceval Gaillard, membre de La France Insoumise. Après un quiproquo malheureux faisant d’une personne s’étant présentée comme l’un des administrateurs de la page de cette pétition, voici donc Perceval Gaillard nous exposer son sentiment alors que le tournage des Vacances des Anges 4 est parti pour continuer malgré cet incroyable ramdam.
Perceval Gaillard est aussi concerné en tant qu’élu saint-paulois. La ville de l’ouest sert de décor au tournage puisque les participants au programme télé de NRJ12 doivent tourner dans une villa de luxe sur les contreforts de Saint-Gilles.
"L’exclusion ne suffit pas"
"L’objectif de cette pétition c’était d’appeler à l’annulation du tournage des Anges de la Téléréalité au vu des actes gravissimes qui se sont déroulés", expose naturellement Perceval Gaillard.
"Agresser un maire et ses enfants, c’est agresser toute La Réunion. On voit bien que la mobilisation populaire est forte, et leur départ serait à la fois un respect pour Joé Bédier mais aussi pour La Réunion". Perceval Gaillard y voit aussi un signe d’apaisement incontournable auquel la société de production doit se résoudre au vu de l’ampleur "des risques" si le tournage venait à être maintenu.
"C’est la solution la plus raisonnable pour tout le monde. L’exclusion des participants impliqués ne suffit pas", d'après lui. "Leur évacuation (des protagonistes en garde à vue, ndlr), c’est le minimum. Mais par respect, on ne peut pas accepter que le tournage soit maintenu. Dans d’autres endroits ça ne se passerait pas non plus donc à La Réunion on n’accepte pas ça", se positionne-t-il en faveur d’un arrêt pur et simple du tournage car, insiste-t-il, "il y a de vrais risques sur le plan du maintien de l’ordre public."