Mis en examen le 4 mai dernier pour assassinat, Ridaï-Mdallah Mari devait être présenté à un juge d’instruction ce mercredi. Mais selon Clicanoo, l’homme a refusé d’être extrait de sa cellule de Domenjod où il est maintenu en détention provisoire.
Cette nouvelle audition devait permettre à la justice d’en savoir plus sur les circonstance de la mort de la jeune Vanina G.
L’étudiante en première année de médecine avait été sauvagement tuée la nuit du 3 mai dans l’appartement de Ridaï-Mdallah Mari à la Convenance Sainte-Marie.
La victime quant à elle habitait au Moufia et avait fait la connaissance de Ridaï-Mdallah Mari depuis peu.
Fait troublant, le soir du meurtre, la mère de Vanina, inquiète de son absence prolongée, avait appelé sa fille et c’est Mari Ridaï-Mdallah qui avait répondu, informant que celle-ci ne rentrerait pas dormir. Ce n’est que le lendemain matin que les gendarmes découvriront dans l’appartement une scène effroyable. La jeune fille avait été éventrée. Un meurtre d’une grande sauvagerie, avait même qualifié le procureur de Saint-Denis Eric Tuffery le vendredi 4 mai.
Cette nouvelle audition devait permettre à la justice d’en savoir plus sur les circonstance de la mort de la jeune Vanina G.
L’étudiante en première année de médecine avait été sauvagement tuée la nuit du 3 mai dans l’appartement de Ridaï-Mdallah Mari à la Convenance Sainte-Marie.
La victime quant à elle habitait au Moufia et avait fait la connaissance de Ridaï-Mdallah Mari depuis peu.
Fait troublant, le soir du meurtre, la mère de Vanina, inquiète de son absence prolongée, avait appelé sa fille et c’est Mari Ridaï-Mdallah qui avait répondu, informant que celle-ci ne rentrerait pas dormir. Ce n’est que le lendemain matin que les gendarmes découvriront dans l’appartement une scène effroyable. La jeune fille avait été éventrée. Un meurtre d’une grande sauvagerie, avait même qualifié le procureur de Saint-Denis Eric Tuffery le vendredi 4 mai.