Placés sous contrôle judiciaire, ils sont soupçonnés de financement d’une entreprise terroriste et mise en danger de la vie d’autrui.
L’affaire concerne la cimenterie de Jalabiya, en Syrie. C’est la première fois qu’un patron du CAC40 est mis en cause pour une infraction terroriste.
Accusé d’avoir financé des djihadistes, ou au moins fermé les yeux sur des pratiques illégales, l’affaire est hors norme.
La filiale syrienne de la société est mise en cause pour avoir conclmut un marché avec Daesh entre novembre 2013 et septembre 2014 afin de maintenir son usine de Jalabiya dans une zone de conflit tenue par l’organisation djihadiste.