Les avocats du groupe Apavou n’ont pas hésité à remettre en question l’impartialité et l’objectivité des magistrats du tribunal de commerce de Saint-Denis pour tenter d’obtenir le dépaysement de ce dossier fumant.
Mais la cour de cassation en a décidé autrement. Les motifs avancés par les avocats sont considérés comme non recevables par la première présidente, et ne peuvent justifier le renvoi vers Paris.
Les liquidations de plusieurs sociétés ont par ailleurs commencé à La Réunion, et l’affaire sera bel est bien jugée sur notre île, devant le tribunal de commerce de Saint-Denis et la cour d’appel.
Mais la cour de cassation en a décidé autrement. Les motifs avancés par les avocats sont considérés comme non recevables par la première présidente, et ne peuvent justifier le renvoi vers Paris.
Les liquidations de plusieurs sociétés ont par ailleurs commencé à La Réunion, et l’affaire sera bel est bien jugée sur notre île, devant le tribunal de commerce de Saint-Denis et la cour d’appel.