L’Unef veut de la transparence, le recteur le promet. Mostafa Fourar a consacré en ce début d’après-midi quelques minutes aux membres de l’Unef venus, non pas semer le trouble à la réunion de bienvenue des nouveaux enseignants et personnels de l’Académie, mais profiter de l’occasion pour "avoir des réponses".
Les membres de l’Unef souhaitent notamment comprendre pourquoi un surplus de 70 entrants a été décidé. "Qu’allez-vous faire de ce surplus de 70 enseignants alors qu’il n’existe pas de postes pour eux ? Pourquoi privilégier les métropolitains alors que le vivier local attend de travailler ?", a demandé Gilles Leperlier, le président de l’Unef au recteur. Mostafa Fourar a assuré que "tout est transparent. Il y a un surplus de 70 entrants mais ils seront tous placés dans le courant de l’année, en raison notamment des départs à la retraite et des demandes de mutation en métropole".
Les assistants d'éducation également présents
Une erreur de chiffrage ou une volonté délibérée ? Avec plus de la moitié de notre jeunesse au chômage, l’Unef veut savoir pourquoi les jeunes diplômés réunionnais n’obtiennent pas les postes octroyés à des enseignants métropolitains. Depuis quelques années, cette tendance est accentuée alors que le nombre de places au concours régional de professeur des écoles diminue à La Réunion.
Face à ces multiples interrogations, le recteur a proposé au syndicat étudiant un rendez-vous pour apporter les éclaircissements demandés. Avant d’entrer dans l’amphithéâtre pour s’adresser aux nouveaux enseignants et personnels de l’Académie, ce dernier a tenu a souligner : "Je ne souhaite pas qu’ils aient l’impression qu’ils sont indésirables".
Jean-Hugues Ratenon, accompagné d'une poignée d'assistantes d'éducation, était également présent de façon symbolique cet après-midi. Demain, jeudi, le président de l'association Agir Pou Nout Tout ira déposer au tribunal administratif un document afin de demander au président du tribunal la suspension de la décision administrative qui consiste à ne pas renouveler le contrat d'assistants d'éducation.
Les membres de l’Unef souhaitent notamment comprendre pourquoi un surplus de 70 entrants a été décidé. "Qu’allez-vous faire de ce surplus de 70 enseignants alors qu’il n’existe pas de postes pour eux ? Pourquoi privilégier les métropolitains alors que le vivier local attend de travailler ?", a demandé Gilles Leperlier, le président de l’Unef au recteur. Mostafa Fourar a assuré que "tout est transparent. Il y a un surplus de 70 entrants mais ils seront tous placés dans le courant de l’année, en raison notamment des départs à la retraite et des demandes de mutation en métropole".
Les assistants d'éducation également présents
Une erreur de chiffrage ou une volonté délibérée ? Avec plus de la moitié de notre jeunesse au chômage, l’Unef veut savoir pourquoi les jeunes diplômés réunionnais n’obtiennent pas les postes octroyés à des enseignants métropolitains. Depuis quelques années, cette tendance est accentuée alors que le nombre de places au concours régional de professeur des écoles diminue à La Réunion.
Face à ces multiples interrogations, le recteur a proposé au syndicat étudiant un rendez-vous pour apporter les éclaircissements demandés. Avant d’entrer dans l’amphithéâtre pour s’adresser aux nouveaux enseignants et personnels de l’Académie, ce dernier a tenu a souligner : "Je ne souhaite pas qu’ils aient l’impression qu’ils sont indésirables".
Jean-Hugues Ratenon, accompagné d'une poignée d'assistantes d'éducation, était également présent de façon symbolique cet après-midi. Demain, jeudi, le président de l'association Agir Pou Nout Tout ira déposer au tribunal administratif un document afin de demander au président du tribunal la suspension de la décision administrative qui consiste à ne pas renouveler le contrat d'assistants d'éducation.