C’est une réforme "ultra-nécessaire" soutient la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse alors même qu’une opération "lancer de chaussures" anime la rue, devant le ministère de l’enseignement supérieur…
De leur côté, les enseignants-chercheurs ne sont pas si convaincus des avancées de cette réforme. L’Unef, Union nationale des étudiants de France, ne l’est pas plus et au niveau local, on dénonce une nouvelle fois la volonté du gouvernement de "précariser l’enseignement".
"Au-delà des questions liées aux statuts des enseignants chercheurs, cette réforme n’est pas sans
affaiblir le service public d’enseignement supérieur et s’inscrit dans un contexte de pénurie budgétaire,
et donc va faire subir des conséquences négatives sur les conditions d’études des étudiants", dénonce dans un communiqué, Gilles Leperlier le président de l’Unef Réunion.
Le syndicat étudiant souhaite donc que cette réforme sur le statut des enseignants chercheurs soit retirée, que 2500 enseignants chercheurs et personnels soient recruter et qu’une autre réforme soit mise en place.
En attendant, étudiants et enseignants-chercheurs se retrouveront lors d’une assemblée générale prévue ce lundi 9 février à 12h30 à la faculté de lettres du Moufia, à Saint-Denis.
De leur côté, les enseignants-chercheurs ne sont pas si convaincus des avancées de cette réforme. L’Unef, Union nationale des étudiants de France, ne l’est pas plus et au niveau local, on dénonce une nouvelle fois la volonté du gouvernement de "précariser l’enseignement".
"Au-delà des questions liées aux statuts des enseignants chercheurs, cette réforme n’est pas sans
affaiblir le service public d’enseignement supérieur et s’inscrit dans un contexte de pénurie budgétaire,
et donc va faire subir des conséquences négatives sur les conditions d’études des étudiants", dénonce dans un communiqué, Gilles Leperlier le président de l’Unef Réunion.
Le syndicat étudiant souhaite donc que cette réforme sur le statut des enseignants chercheurs soit retirée, que 2500 enseignants chercheurs et personnels soient recruter et qu’une autre réforme soit mise en place.
En attendant, étudiants et enseignants-chercheurs se retrouveront lors d’une assemblée générale prévue ce lundi 9 février à 12h30 à la faculté de lettres du Moufia, à Saint-Denis.