
Ils seront dès 6 heures mobilisés devant la prison du Port ce mercredi. Le syndicat L'UFAP-UNSa justice dénonce les conditions de travail des agents pénitentiaires ainsi que le manque d'effectifs.
"Nos décideurs ont refusé de nous entendre et de nous comprendre. Ils nous ont ignorés, méprisés, oubliés, humiliés, divisés…", indique le syndicat dans un communiqué. Il ajoute : "Plusieurs de nos collègues (de tous grades) ont fonctionné en sous-effectif dans nos détentions à la limite du "pétage de plombs"." Le syndicat déplore une nouvelle fois la recrudescence des agressions
Est également pointée du doigt une gestion "calamiteuse et malhonnête gestion de la direction locale." Selon le syndicat, le Centre de détention du Port "n’a jamais connu autant d’arrêts maladies, autant d’accidents de service, autant d’agressions sur le Personnel, autant de tensions entre agents."
L’UFAP-UNSa Justice réclame le départ de la direction actuelle, exige le remplacement des départs en retraite tous corps confondus , ainsi que la reprise des travaux et la non-fermeture.
Et de conclure : "Les preuves sont là, nous ne les inventons pas, cette pseudo direction ne nous respecte pas !"
"Nos décideurs ont refusé de nous entendre et de nous comprendre. Ils nous ont ignorés, méprisés, oubliés, humiliés, divisés…", indique le syndicat dans un communiqué. Il ajoute : "Plusieurs de nos collègues (de tous grades) ont fonctionné en sous-effectif dans nos détentions à la limite du "pétage de plombs"." Le syndicat déplore une nouvelle fois la recrudescence des agressions
Est également pointée du doigt une gestion "calamiteuse et malhonnête gestion de la direction locale." Selon le syndicat, le Centre de détention du Port "n’a jamais connu autant d’arrêts maladies, autant d’accidents de service, autant d’agressions sur le Personnel, autant de tensions entre agents."
L’UFAP-UNSa Justice réclame le départ de la direction actuelle, exige le remplacement des départs en retraite tous corps confondus , ainsi que la reprise des travaux et la non-fermeture.
Et de conclure : "Les preuves sont là, nous ne les inventons pas, cette pseudo direction ne nous respecte pas !"