
À l’ère du transfert des compétences de l’Etat vers les collectivités, le CREPS (Comité Régional d’Education Populaire et de Sport) sera désormais pris en charge par la Région. Il relevait jusqu’à présent du Ministère de la Santé et des Sports.
"On parle d’un transfert de compétences mais je dirais plutôt qu’il s’agit d’une nouvelle gouvernance" explique Jérôme Fournier, Directeur de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. Le CREPS va donc devenir un établissement partagé entre l’Etat et la Région, avec une partie des moyens du CREPS transférés à la Région.
La période de transition a été amorcée en 2016, avec le transfert des biens immobiliers et le changement de gouvernance au niveau de la Présidence et de la Direction. En 2017, le personnel technique sera transféré.
"L’Etat reste présent dans la gouvernance, notamment car il y a une politique nationale du sport, sur le développement du sport de haut niveau entre autres. Nous avons également un dispositif de formation professionnelle aux métiers du sport et de l’animation qui reste un dispositif Etat. Les personnels de direction et sportifs restent des agents de l’Etat. On peut comparer le fonctionnement du CREPS à celui d’un lycée" continue le représentant de l’Etat.
Promesse de campagne de Didier Robert, la plateforme sportive à rayonnement dans l’Océan Indien est toujours d’actualité.
"Nous sommes sur un cheminement de construction. Depuis 2010, nous avons à travers le schéma des équipements sportifs fait en sorte qu’il y ait sur l’ensemble du territoire des équipements sportifs de qualité. La Région a continué de financer ces équipements à 70%, 80%.
En début d’année la Région récupère la compétence et le CREPS. L’objectif est beaucoup plus ambitieux pour nous. À terme, nous aimerions créer un Institut Régional des sports pour le grand Océan Indien pour inscrire la Réunion dans un parcours au niveau national et international" explique le Président de Région.
Le Creps devrait donc perdurer dans ses missions axées sur la formation, le sport de haut niveau, et l’aide au développement de la vie associative.
"On parle d’un transfert de compétences mais je dirais plutôt qu’il s’agit d’une nouvelle gouvernance" explique Jérôme Fournier, Directeur de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale. Le CREPS va donc devenir un établissement partagé entre l’Etat et la Région, avec une partie des moyens du CREPS transférés à la Région.
La période de transition a été amorcée en 2016, avec le transfert des biens immobiliers et le changement de gouvernance au niveau de la Présidence et de la Direction. En 2017, le personnel technique sera transféré.
"L’Etat reste présent dans la gouvernance, notamment car il y a une politique nationale du sport, sur le développement du sport de haut niveau entre autres. Nous avons également un dispositif de formation professionnelle aux métiers du sport et de l’animation qui reste un dispositif Etat. Les personnels de direction et sportifs restent des agents de l’Etat. On peut comparer le fonctionnement du CREPS à celui d’un lycée" continue le représentant de l’Etat.
Promesse de campagne de Didier Robert, la plateforme sportive à rayonnement dans l’Océan Indien est toujours d’actualité.
"Nous sommes sur un cheminement de construction. Depuis 2010, nous avons à travers le schéma des équipements sportifs fait en sorte qu’il y ait sur l’ensemble du territoire des équipements sportifs de qualité. La Région a continué de financer ces équipements à 70%, 80%.
En début d’année la Région récupère la compétence et le CREPS. L’objectif est beaucoup plus ambitieux pour nous. À terme, nous aimerions créer un Institut Régional des sports pour le grand Océan Indien pour inscrire la Réunion dans un parcours au niveau national et international" explique le Président de Région.
Le Creps devrait donc perdurer dans ses missions axées sur la formation, le sport de haut niveau, et l’aide au développement de la vie associative.