"Nous sommes tristes, émus et choqués. Nos pensées vont évidemment à la famille de la victime", assure immédiatement Pascal Viroleau.
Le directeur de l'IRT estime que suite à cet accident, "il y aura forcément une incidence sur l'image de l'île, c'est logique. Mais au-delà de l'image, c'est pour nous IRT la certitude qu'on ne va plus communiquer sur cette cible du surf à la Réunion" car "le problème persiste", ajoute-t-il.
Alors que de belles images montrant un surfeur chevauchant une vague s'affiche encore en page d'accueil du site de l'IRT, Pascal Viroleau ne manque pas d'évoquer les "16 km de lagon" sécurisés que compte notre littoral. Une sorte de version a minima, pour tout touriste en recherche d'eau salée.
Quelle image distingue un métropolitain devant son écran ?
Simplement, avec le relai médiatique de cette dernière attaque sur les écrans nationaux depuis hier, la confusion pour un métropolitain est facile, expliquait ce matin une personne présente sur le spot de Trois-Bassins: "Quand un métropolitain qui prévoit de venir ici entend parler d'attaques de requins, à aucun moment il ne sait qu'il y a aussi des lagons ici".
L'IRT est contrainte de prendre en compte cette nouvelle donne. "Il va falloir que l'on dise quelque chose, on le fera qu'après concertation avec la ligue (ndlr : de surf). On ne va pas se précipiter. On prendra le temps de la réflexion mais qui devra être le plus rapide possible", poursuit le directeur de la structure en charge du tourisme.
Un chiffre a marqué l'intervention de l'équipe de l'IRT ce matin à Saint-Paul : 0,3% du tourisme mondial concerne les pays de la zone océan Indien. Une goutte d'eau qui ne peut être que fragilisée par ce genre d'événement dramatique et forcément dommageable pour nos destinations.
Le directeur de l'IRT estime que suite à cet accident, "il y aura forcément une incidence sur l'image de l'île, c'est logique. Mais au-delà de l'image, c'est pour nous IRT la certitude qu'on ne va plus communiquer sur cette cible du surf à la Réunion" car "le problème persiste", ajoute-t-il.
Alors que de belles images montrant un surfeur chevauchant une vague s'affiche encore en page d'accueil du site de l'IRT, Pascal Viroleau ne manque pas d'évoquer les "16 km de lagon" sécurisés que compte notre littoral. Une sorte de version a minima, pour tout touriste en recherche d'eau salée.
Quelle image distingue un métropolitain devant son écran ?
Simplement, avec le relai médiatique de cette dernière attaque sur les écrans nationaux depuis hier, la confusion pour un métropolitain est facile, expliquait ce matin une personne présente sur le spot de Trois-Bassins: "Quand un métropolitain qui prévoit de venir ici entend parler d'attaques de requins, à aucun moment il ne sait qu'il y a aussi des lagons ici".
L'IRT est contrainte de prendre en compte cette nouvelle donne. "Il va falloir que l'on dise quelque chose, on le fera qu'après concertation avec la ligue (ndlr : de surf). On ne va pas se précipiter. On prendra le temps de la réflexion mais qui devra être le plus rapide possible", poursuit le directeur de la structure en charge du tourisme.
Un chiffre a marqué l'intervention de l'équipe de l'IRT ce matin à Saint-Paul : 0,3% du tourisme mondial concerne les pays de la zone océan Indien. Une goutte d'eau qui ne peut être que fragilisée par ce genre d'événement dramatique et forcément dommageable pour nos destinations.