
"L‘Etat et les administrations abusent sur nous dans plein de domaines. Nous voulons éviter qu’il nous rackette ou qu’il nous abrutisse avec des lois qui ne sont pas logiques."
Denis Bigeard s’insurge surtout devant un code de la route qu’il juge excessif. Il prend l’exemple du panneau qui fixait la limitation de vitesse à 20 km/h à l’entrée de la zone aéroportuaire de Gillot: "L’automobiliste doit réfléchir de moins en moins, et appliquer de plus en plus bêtement un code de la route souvent insensé. Ce panneau a été finalement enlevé, et pour cause, il n’était pas légal! En attendant, des automobilistes ont payé des amendes qui n’étaient pas valables…"
De plus, Denis Bigeard rappelle que nous sommes dans un état de droit, et que les lois devraient être faites après la consultation des citoyens."Je dis oui aux lois acceptées par la majorité des citoyens, sauf que les lois sont aujourd’hui de plus en plus contraignantes. Certaines mesures administratives sont injustes. Prenez l’exemple d’une amende forfaitaire majorée qui arrive sous forme de rappel dans votre boîte aux lettres, alors que vous n’avez jamais reçu le premier courrier qui précise la nature, le lieu et la date de l’infraction. Comment vérifier la véracité de l’infraction. Qui dit que c’était bien moi dans ma voiture à ce moment là, sachant qu’il y a un trafic de plaque d’immatriculation de plus en plus répandu!".
D’autres mesures mettraient en péril la liberté individuelle."C’est bien l’Etat qui se fait un maximum d’argent sur les paquets de cigarettes. J’estime qu’il se rend complice de la mise en danger d’autrui en maintenant ce produit hautement toxique sur le marché!"
Par ailleurs, appliquer l’interdiction de fumer à la restauration est une atteinte à la liberté individuelle pour Monsieur Bigeard. "On veut des lois intelligentes. Tout est prétexte à nous faire payer. Je ne vois pas pourquoi je dois payer une amende en fumant dans un restaurant fumeur. En quoi ne pas mettre ma ceinture fait de moi un criminel? La ceinture, comme le téléphone, doit être considéré comme une circonstance aggravante mais ne constitue pas en elle-même un crime! On doit arrêter de se faire monter la tête par un gouvernement qui veut nous faire croire que nous sommes toujours coupables de tout, alors que bien souvent, nous ne sommes rien d’autres que des citoyens et bons contribuables !"
Denis Bigeard s’insurge surtout devant un code de la route qu’il juge excessif. Il prend l’exemple du panneau qui fixait la limitation de vitesse à 20 km/h à l’entrée de la zone aéroportuaire de Gillot: "L’automobiliste doit réfléchir de moins en moins, et appliquer de plus en plus bêtement un code de la route souvent insensé. Ce panneau a été finalement enlevé, et pour cause, il n’était pas légal! En attendant, des automobilistes ont payé des amendes qui n’étaient pas valables…"
De plus, Denis Bigeard rappelle que nous sommes dans un état de droit, et que les lois devraient être faites après la consultation des citoyens."Je dis oui aux lois acceptées par la majorité des citoyens, sauf que les lois sont aujourd’hui de plus en plus contraignantes. Certaines mesures administratives sont injustes. Prenez l’exemple d’une amende forfaitaire majorée qui arrive sous forme de rappel dans votre boîte aux lettres, alors que vous n’avez jamais reçu le premier courrier qui précise la nature, le lieu et la date de l’infraction. Comment vérifier la véracité de l’infraction. Qui dit que c’était bien moi dans ma voiture à ce moment là, sachant qu’il y a un trafic de plaque d’immatriculation de plus en plus répandu!".
D’autres mesures mettraient en péril la liberté individuelle."C’est bien l’Etat qui se fait un maximum d’argent sur les paquets de cigarettes. J’estime qu’il se rend complice de la mise en danger d’autrui en maintenant ce produit hautement toxique sur le marché!"
Par ailleurs, appliquer l’interdiction de fumer à la restauration est une atteinte à la liberté individuelle pour Monsieur Bigeard. "On veut des lois intelligentes. Tout est prétexte à nous faire payer. Je ne vois pas pourquoi je dois payer une amende en fumant dans un restaurant fumeur. En quoi ne pas mettre ma ceinture fait de moi un criminel? La ceinture, comme le téléphone, doit être considéré comme une circonstance aggravante mais ne constitue pas en elle-même un crime! On doit arrêter de se faire monter la tête par un gouvernement qui veut nous faire croire que nous sommes toujours coupables de tout, alors que bien souvent, nous ne sommes rien d’autres que des citoyens et bons contribuables !"