
"En dépit du dynamisme du secteur marchand, la valeur ajoutée des secteurs non marchands continue de représenter encore à la Réunion plus du tiers du produit intérieur brut.
Le niveau de sa dépense budgétaire constitue à cet égard un bon indicateur de la contribution importante qu’apporte l’Etat à l’économie locale pour assurer le fonctionnement des services publics, susciter et orienter les investissements, manifester la solidarité nationale à l’égard des ménages et des collectivités.
5,5 milliards d'euros pour la Réunion
La gestion 2009 qui vient de s’achever témoigne d’une nouvelle progression des moyens financiers globaux que l’Etat a affectés à la Réunion. Ils totalisent près de 5,5 milliards d’euros et sont en progression de 4 % par rapport à 2008. On peut relever que les salaires des personnels dominent les dépenses puisqu’ils atteignent près de 2,3 milliard d’euros.
A l’intérieur de ce poste, les moyens mobilisés pour la fonction éducative, particulièrement importante et stratégique à la Réunion, occupent une part prépondérante avec plus de 50 % des dépenses de personnels.
L’Etat est aussi un donneur d’ordre de premier plan. Il a, à ce titre, le souci de préserver la trésorerie des entreprises, particulièrement au moment où la crise affecte l’activité d’un certain nombre d’entre elles. En sa qualité de maître d’ouvrage il se montre particulièrement attentif au respect des délais de paiement.
Amélioration du niveau de traitement des factures
Dans un contexte budgétaire pourtant contraint, ses services se sont attachés en 2009 à améliorer encore le niveau de traitement des factures. Ainsi avec un délai moyen global de paiement de 19 jours, ils sont parvenus à réduire de 6 jours les bons résultats déjà enregistrés en 2008.
Ces résultats qui, pour mémoire, sont inférieurs de 11 jours au délai légal maximal, les placent dans la moyenne des performances nationales. Ils sont d’autant plus remarquables qu’ils s’inscrivent dans un contexte d’augmentation de plus de 4 % des factures traitées."
Le niveau de sa dépense budgétaire constitue à cet égard un bon indicateur de la contribution importante qu’apporte l’Etat à l’économie locale pour assurer le fonctionnement des services publics, susciter et orienter les investissements, manifester la solidarité nationale à l’égard des ménages et des collectivités.
5,5 milliards d'euros pour la Réunion
La gestion 2009 qui vient de s’achever témoigne d’une nouvelle progression des moyens financiers globaux que l’Etat a affectés à la Réunion. Ils totalisent près de 5,5 milliards d’euros et sont en progression de 4 % par rapport à 2008. On peut relever que les salaires des personnels dominent les dépenses puisqu’ils atteignent près de 2,3 milliard d’euros.
A l’intérieur de ce poste, les moyens mobilisés pour la fonction éducative, particulièrement importante et stratégique à la Réunion, occupent une part prépondérante avec plus de 50 % des dépenses de personnels.
L’Etat est aussi un donneur d’ordre de premier plan. Il a, à ce titre, le souci de préserver la trésorerie des entreprises, particulièrement au moment où la crise affecte l’activité d’un certain nombre d’entre elles. En sa qualité de maître d’ouvrage il se montre particulièrement attentif au respect des délais de paiement.
Amélioration du niveau de traitement des factures
Dans un contexte budgétaire pourtant contraint, ses services se sont attachés en 2009 à améliorer encore le niveau de traitement des factures. Ainsi avec un délai moyen global de paiement de 19 jours, ils sont parvenus à réduire de 6 jours les bons résultats déjà enregistrés en 2008.
Ces résultats qui, pour mémoire, sont inférieurs de 11 jours au délai légal maximal, les placent dans la moyenne des performances nationales. Ils sont d’autant plus remarquables qu’ils s’inscrivent dans un contexte d’augmentation de plus de 4 % des factures traitées."