
Laurent Boyer, président de l’Aveca, a été convié à cette rencontre par téléphone, vers 16h00. Il a accepté l’invitation. “J’irai avec mon vice-président”. Ainsi, l’Aveca a une nouvelle fois l’opportunité de faire entre ses revendications :
- suppression des dettes fiscales et sociales ;
- globalisation et harmonisation de la zone franche globale (sociale et fiscale) sur l’ensemble de l’île pour le BTP, ayant un effet domino sur les autres secteurs économiques ;
- élargissement des minima sociaux aux chefs d’entreprise(s) des PME/TPE en cas de faillite afin d’assurer les besoins primaires ;
- suppression de la Caisse des congés payés du bâtiment : effet immédiat de diminution des charges sociales, donc réduction du coût d’exploitation, ou laisser à l’entreprise le choix de paiement des congés ;
- révision auprès des organismes financiers des encours de crédits, et demande de remises gracieuses des frais (flexibilité des prêts, études cas par cas…) ;
- lors des blocages de compte par les huissiers, que ne soit retenue la créance et non la totalité du compte.
- suppression des dettes fiscales et sociales ;
- globalisation et harmonisation de la zone franche globale (sociale et fiscale) sur l’ensemble de l’île pour le BTP, ayant un effet domino sur les autres secteurs économiques ;
- élargissement des minima sociaux aux chefs d’entreprise(s) des PME/TPE en cas de faillite afin d’assurer les besoins primaires ;
- suppression de la Caisse des congés payés du bâtiment : effet immédiat de diminution des charges sociales, donc réduction du coût d’exploitation, ou laisser à l’entreprise le choix de paiement des congés ;
- révision auprès des organismes financiers des encours de crédits, et demande de remises gracieuses des frais (flexibilité des prêts, études cas par cas…) ;
- lors des blocages de compte par les huissiers, que ne soit retenue la créance et non la totalité du compte.