
Laurent Boyer, président de l’Aveca, a déposé son préavis de grève hier matin à la préfecture. Le document précise que l’association pourrait mener des actions publiques à partir de demain, et ce pour une période illimitée.
En fait, ce préavis de grève est avant tout une piqûre de rappel. L’Aveca oblige ainsi les représentants de l’Etat, à reprendre son dossier et à lui donner une réponse sur sa principale revendication : la suppression totale des charges sociales et fiscales de 2008 pour les PME et les TPE de La Réunion.
Le préavis a eu l’effet escompté: les services de l’Etat l’ont joint au téléphone en début d’après-midi. Laurent Boyer a rappelé à son interlocuteur la situation financière et économique des entreprises que son association défend. Si le président de l’Aveca est conscient d’avoir été écouté lors des premières rencontres, la survie des PME et TPE exige aujourd’hui des réponses concrètes et des actes efficaces de l’Etat.
Cette demande pressante de l’Aveca n’arrive pas au bon moment pour la préfecture qui tente dans le même temps d’apporter ne serait-ce qu’un début de réponse aux revendications du Collectif des associations contre la vie chère, des syndicats professionnels et des partis politiques de gauche.
Quoiqu’il en soit, les adhérents de l’Aveca devraient très prochainement être reçus par les services de la Préfecture.
En fait, ce préavis de grève est avant tout une piqûre de rappel. L’Aveca oblige ainsi les représentants de l’Etat, à reprendre son dossier et à lui donner une réponse sur sa principale revendication : la suppression totale des charges sociales et fiscales de 2008 pour les PME et les TPE de La Réunion.
Le préavis a eu l’effet escompté: les services de l’Etat l’ont joint au téléphone en début d’après-midi. Laurent Boyer a rappelé à son interlocuteur la situation financière et économique des entreprises que son association défend. Si le président de l’Aveca est conscient d’avoir été écouté lors des premières rencontres, la survie des PME et TPE exige aujourd’hui des réponses concrètes et des actes efficaces de l’Etat.
Cette demande pressante de l’Aveca n’arrive pas au bon moment pour la préfecture qui tente dans le même temps d’apporter ne serait-ce qu’un début de réponse aux revendications du Collectif des associations contre la vie chère, des syndicats professionnels et des partis politiques de gauche.
Quoiqu’il en soit, les adhérents de l’Aveca devraient très prochainement être reçus par les services de la Préfecture.