Le syndicat autonome de la fonction publique territoriale (SAFPTR) est sorti majoritaire et renforcé de la dernière élection professionnelle.
Suspendu après “une prise de bec, un face à face voire un nez contre nez” avec la présidente du Conseil général, lors d’un conseil d’administration mémorable, Johnny Imara a eu une revanche éclatante: il a été élu délégué du personnel à l’ADI.
“Je ne vous reconnais pas comme syndicat”, avait dit Nassimah Dindar, ce jour-là. C’était sans doute la meilleure publicité que la patronne du palais de la Source pouvait faire pour les représentants de la SAFPTR qui ne sont pas “des tires au cul”, et qui eux “ne regardent pas non plus de films porno sur leur lieu de travail”, ont tenu à rappeler certains.
Nassimah Dindar osera-t-elle demander des noms lors de leur prochaine rencontre? “La présidente ne nous pas reçu depuis 2004”, regrette Patricia de la SAFPTR. “Elle ne répond pas non plus à nos courriers”, ajoute Patrick Dindar du même syndicat.
C’est pour cette raison qu’une délégation du syndicat autonome est partie déposer plusieurs missives à l’intention de la présidente. “Nous étions seize, mais seules deux personnes ont été autorisées à aller déposer les documents à son cabinet”.
Johnny Imara déplore la rupture qui existe depuis des années entre la responsable du Département, et son syndicat. Le silence de Nassimah Dindar est aussi assourdissant que leur dispute dans l’hémicycle, au mois de septembre. “C’est dommage”.
Mais, l’heure n’est plus au regret. “Il faut entériner le tableau des emplois avant la fin de l’année. Sinon, plusieurs employés pourraient perdre leur avancement. Nous attendons des réponses sur l’application du RSA, car celui-ci va influer sur le devenir de l’ADI. Il y a urgence”.
Si aucune réponse n’est apportée à toutes ces questions. L’ADI menace de descendre dans la rue…
Suspendu après “une prise de bec, un face à face voire un nez contre nez” avec la présidente du Conseil général, lors d’un conseil d’administration mémorable, Johnny Imara a eu une revanche éclatante: il a été élu délégué du personnel à l’ADI.
“Je ne vous reconnais pas comme syndicat”, avait dit Nassimah Dindar, ce jour-là. C’était sans doute la meilleure publicité que la patronne du palais de la Source pouvait faire pour les représentants de la SAFPTR qui ne sont pas “des tires au cul”, et qui eux “ne regardent pas non plus de films porno sur leur lieu de travail”, ont tenu à rappeler certains.
Nassimah Dindar osera-t-elle demander des noms lors de leur prochaine rencontre? “La présidente ne nous pas reçu depuis 2004”, regrette Patricia de la SAFPTR. “Elle ne répond pas non plus à nos courriers”, ajoute Patrick Dindar du même syndicat.
C’est pour cette raison qu’une délégation du syndicat autonome est partie déposer plusieurs missives à l’intention de la présidente. “Nous étions seize, mais seules deux personnes ont été autorisées à aller déposer les documents à son cabinet”.
Johnny Imara déplore la rupture qui existe depuis des années entre la responsable du Département, et son syndicat. Le silence de Nassimah Dindar est aussi assourdissant que leur dispute dans l’hémicycle, au mois de septembre. “C’est dommage”.
Mais, l’heure n’est plus au regret. “Il faut entériner le tableau des emplois avant la fin de l’année. Sinon, plusieurs employés pourraient perdre leur avancement. Nous attendons des réponses sur l’application du RSA, car celui-ci va influer sur le devenir de l’ADI. Il y a urgence”.
Si aucune réponse n’est apportée à toutes ces questions. L’ADI menace de descendre dans la rue…
