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Juliette Caranta-Pavard: La goutte d’eau…

*La goutte d'eau, celle qui fait se rompre les digues et conduit à mettre son va-tout à résister, face à la force brute policière, au risque de tout perdre, d'y laisser ce qui reste de vie...

Ecrit par Juliette Caranta-Pavard – le jeudi 11 février 2016 à 12H45

Ainsi, ce 21 septembre dernier, je reçois du commandant Robert E. –œuvrant sous l’autorité de la commissaire Laurène C.– une invitation à me présenter devant lui, à 16h, au commissariat Malartic, afin (ce que je croyais…) de régler l’affaire du roquet jappeur. (Voir mes Courriers des lecteurs sur Zinfos : « Juliette Caranta-Pavard : Arme par destination« , publié le 21.09.15 à 14h31-bien noter l’heure…) et « Juliette Caranta-Pavard : Une affaire d’Etat« , publié le 26.09.15)

Dès mon arrivée à Malartic, une furtive apparition du commandant E. m’a fait pressentir la possibilité d’une mise en scène, d’un traquenard. Lequel traquenard s’est révélé dans le bureau du commandant, sous la forme d’un « tribunal », où la gentille « GG » –désormais chef de patrouille– faisait office de procureur, son subalterne de témoin à charge, monsieur E. de président et moi, d’éternelle prévenue…

Depuis une décennie, j’ai déjà beaucoup fréquenté la partie milicienne de la Police nationale, sous la direction des Clément/Trenec/Gunther-Saës ; il me restait à essayer du Lebon.

Confrontée à ce trio sans complexe, la traitrise –disons la saloperie– du procédé, m’a jetée dans une colère colossale, à faire trembler les vitres de Malartic et à semer l’émoi dans la policière corporation. Au point qu’elle s’est empressée de faire appel à l’intervention du SDIS : une grosse ambulance rouge et trois pompiers… Il est vrai qu’avec le pic de tension constaté –alarmant, surtout chez une octogénaire…– la possibilité d’un « accident », dans les murs du commissariat, ça aurait fait désordre, oui ?

La démarche tendait à une discrète exfiltration vers le CHU ; sauf que j’ai refusé tout net et signé une décharge pour les pompiers ; lesquels sont néanmoins restés présents le temps que je quitte le commissariat par mes propres moyens.

La grossière séance d’intimidation ayant échoué, les « relations » avec cette fine équipe ont perduré, intensément, jusqu’au 30 septembre ; suivies d’inexplicables coupures sur ma ligne téléphonique et de désordres sur mon ordinateur…

Les jours suivants, il m’aurait fallu digérer ce que notre évêque Gilbert qualifie de « choc »… lorsqu’il s’agit de la privation de couronne de sa « Miss » ! ; mais ça n’est pas « passé » : le 13 octobre au soir, pour le moins déstabilisée par les derniers traitements de « maintien de l’ordre public » de Malartic, je m’effondrai et me blessai assez gravement pour justifier de deux mois d’hospitalisation ; avec, à la clef, la redécouverte d’une planète que j’avais eu la chance d’oublier : le milieu médical hospitalier, « Cinquième » dans ma classification des pouvoirs-peï… – http://corruption97400.eklablog.com

P.S. : Pour sortir du « secret- défense » ce courageux coup de force des sbires de Malartic, je peux produire l’attestation du SDIS sur leur intervention en ma faveur, le 21.09.2015.

 

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