J’ai appris, lors de ma découverte de l’île, qu’un tendre amour était servi à ses « vié gramoune», ce qui me garantissait – je le croyais alors… – une retraite paisible dans mon pays d’adoption.
La Réunion est une île merveilleuse, à de nombreux titres vous dira la multitude. Une île où il devient – néanmoins, entre tant d’autres plaies – tout à fait banal de massacrer chez elles des vieilles personnes respectables et innocentes de tout ; de les violer, aussi (oui, oui !, ça s’est déjà produit !)
Nous savons qui ni Le Quotidien, ni aucun autre média d’ici ou d’ailleurs, n’a eu de goût pour consacrer sa Une à révéler la violence exercée sur ma personne, depuis plus de 10 ans. Pourtant – voisine immédiate du chantier hors-la-loi « géré » par la municipalité de Saint Denis, adepte de l’opération « dix pour cent » – j’ai, par deux fois, failli perdre la vie de mort violente… ; sans bruit !
La plus remarquable violence reste cependant la persécution voulue, organisée, appliquée avec constance, depuis 2007 et encore aujourd’hui, par les pouvoirs locaux et nationaux ; ceci, juste afin de me faire taire sur le sujet « secret » des 40% de constructions illégales, non fiscalisées de l’île. Persécution destinée – à défaut de m’imposer silence – à me détruire, à me TUER, c’est clair (sous réserve que je me charge de la chose…) Il faut reconnaître que cela s’explique par le fait que moi, à l’aune de la Justice-Peï, je ne suis pas innocente. (Voir condamnations… http://corruption97400.eklablog.com)