Avant toute chose, je veux vous dire « MERCI ». Mille fois merci.
Merci de votre amitié ; merci de votre chaleur. Vous avez su être là dans les moments les plus difficiles et j’ai pu sentir alors, outre votre présence, l’intensité, la chaude réalité de votre empathie.
Vous avez été là également quand ça allait bien, pour m’encourager à continuer. Ainsi lorsque mon livre de souvenirs est sorti. Vous n’avez pas manqué de me faire part de vos avis et ça continue : c’est grâce à mes amis et mon frangin Alain que j’ai ainsi pu illustrer le papier sur les années Sakay. J’y ai puisé une force certaine pour persévérer et le second tome est en bonne voie.
Vous l’aurez avant la fin de cette année, promis.
Qu’il s’agisse de Nicole, Raymond, Dédé, Vally, Sully, Vincent, Vax, Minouchevax, et même mon pote et alter ego en moucatage, Jacques Tillier, et j’en oublie (vous êtes trop nombreux !), vous avez su parfois modérer mes emportements, toujours avec tact, toujours avec l’amitié dans l’encrier.
Tenez !… même ceux qui me critiquent dans leurs commentaires, et que je rembarre avec le souci du moucatage, eh bien même eux je les remercie ! On s’emmerderait ferme si tout le monde était toujours d’accord.
Enfin, je ne saurais terminer cette petite bafouille sans mentionner mon cher Pierrot. Je sais ce que je te dois, mon cousin ; c’est grâce à toi et à Arnold que je suis allé en librairie et à Athéna avec le succès que l’on sait. Vous m’avez mis le pied à l’étrier d’une nouvelle aventure qui semble vouloir se renouveler et à laquelle je ne m’attendais certes pas !
Je vous aime ; tous, sans exception. A tous et à chacun : I love you ; ich liebe dich ; te quiero ; wami venze wao ; wo aï ni ; et bien sûr : tiako ianao.
JULOT