
Le communiqué :
"À travers notre participation à cet événement, nous avons souhaité continuer à informer le public des missions de l’association afin de maintenir un lien social. Il était important que nous soyons présents pour valoriser le travail des aidants familiaux, sans qui l’accompagnement des malades serait très difficile. L’objectif était également d’impliquer davantage les autorités locales dans cette problématique, et plus largement, dans la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à La Réunion", explique Sylvie Agnez, présidente de France Alzheimer Réunion. Consciente de ces enjeux, l’association travaille actuellement à la mise en œuvre de son projet Halte Relais Mobile Cœur Alzheimer, un service qui vise à accompagner les couples aidants-aidés.
Pour l’édition 2021 de cette journée, un programme comprenant des conférences, des stands d'information, d'écoute et de conseil, des ateliers thématiques, ainsi qu’une exposition de photos, a été mis en place. L’association a fièrement participé à ces initiatives. L’idée était de sensibiliser le public à la nécessité d’avoir un aidant auprès d’un proche malade. Il s’agit de rappeler le besoin de les soutenir et de les écouter, d’autant qu’il est souvent difficile pour eux de parler des difficultés qu’ils rencontrent au quotidien.
En France, plus de 8,3 millions de femmes et d’hommes accompagnent un proche atteint de la maladie d’Alzheimer tout en poursuivant leur carrière ou en s’y consacrant entièrement. La Journée nationale des aidants permet non seulement de mettre en avant toutes ces personnes, mais aussi de réfléchir aux solutions possibles pour optimiser leur accompagnement et favoriser leur bien-être. "S’occuper d’un malade nécessite un dévouement constant : tout tourne autour de lui, de ses besoins, de son confort. La maladie peut avoir d’importantes répercussions sur un accompagnant telles que le stress, l’anxiété, les difficultés relationnelles, la culpabilité ou encore la peur de ne pas être à la hauteur. Tout cela influe sur l’état de santé physique ou moral des aidants, qui peut se dégrader autant que celui du malade", conclut Sylvie Agnez.
"À travers notre participation à cet événement, nous avons souhaité continuer à informer le public des missions de l’association afin de maintenir un lien social. Il était important que nous soyons présents pour valoriser le travail des aidants familiaux, sans qui l’accompagnement des malades serait très difficile. L’objectif était également d’impliquer davantage les autorités locales dans cette problématique, et plus largement, dans la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer à La Réunion", explique Sylvie Agnez, présidente de France Alzheimer Réunion. Consciente de ces enjeux, l’association travaille actuellement à la mise en œuvre de son projet Halte Relais Mobile Cœur Alzheimer, un service qui vise à accompagner les couples aidants-aidés.
Pour l’édition 2021 de cette journée, un programme comprenant des conférences, des stands d'information, d'écoute et de conseil, des ateliers thématiques, ainsi qu’une exposition de photos, a été mis en place. L’association a fièrement participé à ces initiatives. L’idée était de sensibiliser le public à la nécessité d’avoir un aidant auprès d’un proche malade. Il s’agit de rappeler le besoin de les soutenir et de les écouter, d’autant qu’il est souvent difficile pour eux de parler des difficultés qu’ils rencontrent au quotidien.
En France, plus de 8,3 millions de femmes et d’hommes accompagnent un proche atteint de la maladie d’Alzheimer tout en poursuivant leur carrière ou en s’y consacrant entièrement. La Journée nationale des aidants permet non seulement de mettre en avant toutes ces personnes, mais aussi de réfléchir aux solutions possibles pour optimiser leur accompagnement et favoriser leur bien-être. "S’occuper d’un malade nécessite un dévouement constant : tout tourne autour de lui, de ses besoins, de son confort. La maladie peut avoir d’importantes répercussions sur un accompagnant telles que le stress, l’anxiété, les difficultés relationnelles, la culpabilité ou encore la peur de ne pas être à la hauteur. Tout cela influe sur l’état de santé physique ou moral des aidants, qui peut se dégrader autant que celui du malade", conclut Sylvie Agnez.