Nouvelle péripétie concernant la livraison de roches sur le chantier de la Nouvelle Route du Littoral (NRL). Le jeune entrepreneur saint-leusien Jonathan Rivière a assigné la SBTPC en référé ce mercredi et lui réclame 2,2 millions d’euros de dédommagement pour avoir mis fin au contrat. Le procès a été reporté au 7 juin prochain.
Jonathan Rivière accuse la SBTPC d’avoir mis fin prématurément à son contrat. Ce dernier portait sur la livraison de 230 000 tonnes de roches à livrer pour un montant de 4,8 millions d’euros. Or, passé le cap des 55 000 tonnes de roches livrées, l’entreprise aurait décidé de stopper le contrat. "J’ai dû licencier près de 40 employés et mon entreprise se trouve aujourd’hui en péril", dénonce-t-il.
"Vu les éléments que nous avons en notre possession et les conclusions des parties, nous allons avoir gain de cause", affirme l’entrepreneur, "confiant" pour le prochain procès.
Jonathan Rivière accuse la SBTPC d’avoir mis fin prématurément à son contrat. Ce dernier portait sur la livraison de 230 000 tonnes de roches à livrer pour un montant de 4,8 millions d’euros. Or, passé le cap des 55 000 tonnes de roches livrées, l’entreprise aurait décidé de stopper le contrat. "J’ai dû licencier près de 40 employés et mon entreprise se trouve aujourd’hui en péril", dénonce-t-il.
"Vu les éléments que nous avons en notre possession et les conclusions des parties, nous allons avoir gain de cause", affirme l’entrepreneur, "confiant" pour le prochain procès.