Représenter la France aux Jeux olympiques, c’est bien. Représenter La Réunion, c’est mieux. Même si le Mahavéli ne flottera pas dans le Stade de France, l’île de La Réunion sera prononcée avec tous les accents du monde en juillet 2024. En effet, de nombreux sportifs réunionnais vont participer aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024 à Paris. Et les chances de voir des médailles débarquer à Gillot quelques semaines après sont réelles.
Handball : Melvyn Richardson au nom de la dynastie
En arrivant aux Jeux de Tokyo en 2021, le fils de Jackson Richardson avait un nom. Deux semaines plus tard, Melvyn s’était fait un prénom en recevant la médaille d’or qui avait toujours échappé à son père. Le joueur du FC Barcelone a remporté par la suite deux Ligues des Champions et s’est imposé comme un cadre de l’équipe de France. Depuis les derniers JO, les Bleus et Melvyn ont échoué en finale ou au pied des podiums lors des championnats du Monde et d’Europe. Nul doute que les Français auront à coeur de conserver leur titre olympique devant leur public et Melvyn d’inscrire un peu plus le nom Richardson dans l’histoire du handball mondial.
Volley-Ball : Stephen Boyer
Depuis leur sacre olympique en 2021 à Tokyo, Stephen Boyer et l’équipe de France planent au-dessus du volley mondial. Ils ont enchaîné en 2022 avec la Ligue des Nations où le Dionysien a été décisif. « La Boye » devrait être présent à Paris pour planter des aces et tenter d’offrir à La Réunion une autre médaille d’or.
Cyclisme sur piste : Donavan Grondin n’a jamais ralenti la cadence
À Tokyo, Donavan Grondin avait créé la sensation en remportant la médaille de bronze de la course à l’américaine avec son compère Benjamin Thomas. Ensemble, ils sont devenus champions du monde en 2023. Sur le plan individuel, le Saint-Leusien est devenu champion du monde de la course scratch en 2021 et champion du monde de l’Omnium en 2022. Ce gain d’expérience permet d’espérer une médaille d’une autre couleur.
Surf : Johanne Defay et Maxime Huscenot rêvent de Polynésie
Le surf fait évidemment partie des sports délocalisés lors des Jeux de Paris et c’est sur la mythique vague tahitienne de Teahupoo que va se dérouler la compétition. C’est donc sur cette vague légendaire que Johanne Defay va tenter d’oublier la déception des Jeux de Tokyo. Blessée en fin d’année dernière, elle peut dire adieu à ses chances de terminer championne du monde cette année. Néanmoins, elle voit cette situation comme une occasion en or de se préparer pour son « objectif principal ». Il ne reste plus pour elle qu’à valider la qualification.
Se qualifier pour les JO est également l’objectif de Maxime Huscenot. Après avoir marqué les esprits l’année dernière avec une 4e place des Challengers Series, il est entré au sein de l’élite sur le Championship Tour. Il tente d’y décrocher directement son billet pour les JO et, en cas d’échec, pourrait obtenir un des billets quota réservé à la France.
Gymnastique : Marine Boyer veut sauter à pieds joints sur le podium
Elle va avoir 23 ans bientôt et prépare déjà ses troisièmes olympiades. Lors de ses premiers Jeux olympiques à Rio en 2016, la Bénédictine n’avait que 16 ans lorsqu’elle a terminé au pied du podium dans l’épreuve de poutre. Un résultat encourageant qui laissait espérer le meilleur pour les Jeux de Tokyo, mais malheureusement elle ne parvient pas à se qualifier pour la finale. Un résultat terrible qui l’avait fait envisager d’arrêter sa carrière. Finalement, elle a su rebondir et reprendre le chemin de la compétition. En 2022, elle termine 4e des championnats du monde et continue sa préparation pour Paris.
Handball : Melvyn Richardson au nom de la dynastie
En arrivant aux Jeux de Tokyo en 2021, le fils de Jackson Richardson avait un nom. Deux semaines plus tard, Melvyn s’était fait un prénom en recevant la médaille d’or qui avait toujours échappé à son père. Le joueur du FC Barcelone a remporté par la suite deux Ligues des Champions et s’est imposé comme un cadre de l’équipe de France. Depuis les derniers JO, les Bleus et Melvyn ont échoué en finale ou au pied des podiums lors des championnats du Monde et d’Europe. Nul doute que les Français auront à coeur de conserver leur titre olympique devant leur public et Melvyn d’inscrire un peu plus le nom Richardson dans l’histoire du handball mondial.
Volley-Ball : Stephen Boyer
Depuis leur sacre olympique en 2021 à Tokyo, Stephen Boyer et l’équipe de France planent au-dessus du volley mondial. Ils ont enchaîné en 2022 avec la Ligue des Nations où le Dionysien a été décisif. « La Boye » devrait être présent à Paris pour planter des aces et tenter d’offrir à La Réunion une autre médaille d’or.
Cyclisme sur piste : Donavan Grondin n’a jamais ralenti la cadence
À Tokyo, Donavan Grondin avait créé la sensation en remportant la médaille de bronze de la course à l’américaine avec son compère Benjamin Thomas. Ensemble, ils sont devenus champions du monde en 2023. Sur le plan individuel, le Saint-Leusien est devenu champion du monde de la course scratch en 2021 et champion du monde de l’Omnium en 2022. Ce gain d’expérience permet d’espérer une médaille d’une autre couleur.
Surf : Johanne Defay et Maxime Huscenot rêvent de Polynésie
Le surf fait évidemment partie des sports délocalisés lors des Jeux de Paris et c’est sur la mythique vague tahitienne de Teahupoo que va se dérouler la compétition. C’est donc sur cette vague légendaire que Johanne Defay va tenter d’oublier la déception des Jeux de Tokyo. Blessée en fin d’année dernière, elle peut dire adieu à ses chances de terminer championne du monde cette année. Néanmoins, elle voit cette situation comme une occasion en or de se préparer pour son « objectif principal ». Il ne reste plus pour elle qu’à valider la qualification.
Se qualifier pour les JO est également l’objectif de Maxime Huscenot. Après avoir marqué les esprits l’année dernière avec une 4e place des Challengers Series, il est entré au sein de l’élite sur le Championship Tour. Il tente d’y décrocher directement son billet pour les JO et, en cas d’échec, pourrait obtenir un des billets quota réservé à la France.
Gymnastique : Marine Boyer veut sauter à pieds joints sur le podium
Elle va avoir 23 ans bientôt et prépare déjà ses troisièmes olympiades. Lors de ses premiers Jeux olympiques à Rio en 2016, la Bénédictine n’avait que 16 ans lorsqu’elle a terminé au pied du podium dans l’épreuve de poutre. Un résultat encourageant qui laissait espérer le meilleur pour les Jeux de Tokyo, mais malheureusement elle ne parvient pas à se qualifier pour la finale. Un résultat terrible qui l’avait fait envisager d’arrêter sa carrière. Finalement, elle a su rebondir et reprendre le chemin de la compétition. En 2022, elle termine 4e des championnats du monde et continue sa préparation pour Paris.
Rugby à 7 : Caroline Drouin veut aller au bout
Caroline Drouin a une double casquette : elle évolue à la fois en équipe de France de rugby à 7 et à 15. Malheureusement pour elle, les All Blacks se dressent toujours face à elle pour la priver de titre. En 2021, à Tokyo, les Bleues étaient parvenues en finale, mais avaient dû s’incliner face aux Néo-Zélandaises.
C’est un scénario encore plus terrible qui attendait la demie d’ouverture lors des championnats du monde en novembre dernier. Les Françaises étaient allées pousser les All-Blacks dans leurs retranchements et s’étaient inclinées d’un seul petit point (24-25) en demi-finale. L’équipe de France a terminé troisième de la compétition. Paris serait le cadre idéal pour que Caroline Drouin parvienne à vaincre ses frustrantes rivales.
Lutte : Valentin Damour n’a rien laissé au hasard
Le Saint-Josephois affiche son ambition de participer aux Jeux olympiques de Paris. Champion de France l’année dernière, Valentin Damour n’a pas hésité à se rendre aux États-Unis dans le cadre de sa préparation. Un voyage qui a porté ses fruits puisqu’il a remporté le Grand Prix de France Henri-Deglane en janvier dernier.
Football : La surprise Acapandié ?
Aux Jeux olympiques, ce sont les espoirs (moins de 23 ans) qui participent à la compétition. Une tranche d’âge qui correspond parfaitement à celle de Mathieu Acapandié. Récemment appelé en équipe de France U19, le joueur poursuit sa progression du côté du FC Nantes. Évoluant au poste de latéral droit, qui est le poste le plus recherché en France, le joueur âgé de 20 ans pourrait faire partie de l’aventure.
Athlétisme paralympique : Pavadé pour confirmer, Pallier pour savourer
Avec sa médaille d’argent à Tokyo sur le saut en longueur, Dimitri Pavadé peut espérer voir plus haut à Paris. Frustré d’avoir vécu ses premières olympiades dans des stades vides, il espère faire bondir le public français l’année prochaine.
Né en 1970, Ronan Pallier sera probablement le vétéran de l’équipe de France s’il parvient à se qualifier. L’âge et la cécité ne sont pas un frein pour le Sainte-Marien qui avait décroché le bronze à Tokyo et à Pékin en 2008. En 2021, il est devenu champion d’Europe. À défaut de remporter la victoire, il a tous les ingrédients pour devenir l’un des favoris du public.
Natation : Laurent Chardard veut poursuivre sur sa lancée
Lors des Jeux de Tokyo, Laurent Chardard avait terminé à la plus mauvaise place au pied du podium. Depuis, il est devenu champion du monde du 50m papillon (2022), discipline où il détient le record d’Europe, et champion d’Europe du 100m dos en 2021.
Cécifoot : Gaël Rivière pour achever une belle carrière
Après avoir débuté sa carrière internationale en 2007, Gaël Rivière n’a jamais quitté l’équipe de France de Cécifoot. Double champion d’Europe (2011 et 2022) et vice-champion olympique en 2012, celui qui est avocat en dehors des terrains espère pouvoir finir sa carrière de footballeur en beauté par une médaille d’or olympique.
Caroline Drouin a une double casquette : elle évolue à la fois en équipe de France de rugby à 7 et à 15. Malheureusement pour elle, les All Blacks se dressent toujours face à elle pour la priver de titre. En 2021, à Tokyo, les Bleues étaient parvenues en finale, mais avaient dû s’incliner face aux Néo-Zélandaises.
C’est un scénario encore plus terrible qui attendait la demie d’ouverture lors des championnats du monde en novembre dernier. Les Françaises étaient allées pousser les All-Blacks dans leurs retranchements et s’étaient inclinées d’un seul petit point (24-25) en demi-finale. L’équipe de France a terminé troisième de la compétition. Paris serait le cadre idéal pour que Caroline Drouin parvienne à vaincre ses frustrantes rivales.
Lutte : Valentin Damour n’a rien laissé au hasard
Le Saint-Josephois affiche son ambition de participer aux Jeux olympiques de Paris. Champion de France l’année dernière, Valentin Damour n’a pas hésité à se rendre aux États-Unis dans le cadre de sa préparation. Un voyage qui a porté ses fruits puisqu’il a remporté le Grand Prix de France Henri-Deglane en janvier dernier.
Football : La surprise Acapandié ?
Aux Jeux olympiques, ce sont les espoirs (moins de 23 ans) qui participent à la compétition. Une tranche d’âge qui correspond parfaitement à celle de Mathieu Acapandié. Récemment appelé en équipe de France U19, le joueur poursuit sa progression du côté du FC Nantes. Évoluant au poste de latéral droit, qui est le poste le plus recherché en France, le joueur âgé de 20 ans pourrait faire partie de l’aventure.
Athlétisme paralympique : Pavadé pour confirmer, Pallier pour savourer
Avec sa médaille d’argent à Tokyo sur le saut en longueur, Dimitri Pavadé peut espérer voir plus haut à Paris. Frustré d’avoir vécu ses premières olympiades dans des stades vides, il espère faire bondir le public français l’année prochaine.
Né en 1970, Ronan Pallier sera probablement le vétéran de l’équipe de France s’il parvient à se qualifier. L’âge et la cécité ne sont pas un frein pour le Sainte-Marien qui avait décroché le bronze à Tokyo et à Pékin en 2008. En 2021, il est devenu champion d’Europe. À défaut de remporter la victoire, il a tous les ingrédients pour devenir l’un des favoris du public.
Natation : Laurent Chardard veut poursuivre sur sa lancée
Lors des Jeux de Tokyo, Laurent Chardard avait terminé à la plus mauvaise place au pied du podium. Depuis, il est devenu champion du monde du 50m papillon (2022), discipline où il détient le record d’Europe, et champion d’Europe du 100m dos en 2021.
Cécifoot : Gaël Rivière pour achever une belle carrière
Après avoir débuté sa carrière internationale en 2007, Gaël Rivière n’a jamais quitté l’équipe de France de Cécifoot. Double champion d’Europe (2011 et 2022) et vice-champion olympique en 2012, celui qui est avocat en dehors des terrains espère pouvoir finir sa carrière de footballeur en beauté par une médaille d’or olympique.