
Myriam Kloster, la Réunionnaise élue meilleure joueuse du championnat de France, dont les Mauriciens contestent la participation
La sélection de volleyball féminin de La Réunion avait annoncé hier son retrait des Jeux suite à la mise à l’écart de l’une de ses joueuses, Myriam Kloster.
Cette dernière avait fait l’objet d’une réclamation de la part des sélections seychelloise et mauricienne, ces dernières considérant que la joueuse du Cannet -élue meilleure joueuse de France- ne répondait pas aux critères de sélection imposés dans la charte des Jeux dont notamment le nombre d'années jouées dans un club réunionnais.
Selon les Mauriciens, Myriam Kloster ne réunirait pas les cinq années de licence à la Réunion nécessaire à sa participation aux JIOI. La Fédération française de volley-ball avait pourtant fourni les preuves, acceptées avant le début des Jeux des Îles par le Cros, qu'elle avait été inscrite trois ans à la Réunion à l'ASPTT, puis trois ans au pôle espoir de Saint-Raphaël avec une double licence. Soit une année de plus que ce qu'exigent les règlements des Jeux.
Malgré tout, le COJ, présidé par un Mauricien, avait décidé de donner raison à la requête mauricienne.
Ce matin, la délégation réunionnaise a porté au Comité d'organisation une nouvelle pièce au dossier de sa joueuse. Cette pièce sera examinée demain par le CIJ. En conséquence, décision a été prise de reporter les demi-finales à demain. Dans l'hypothèse où le recours de la délégation réunionnaise serait pris en compte, Myriam Kloster pourrait jouer, les points marqués par la Réunion suite à ses deux victoires seraient comptabilisés et l'équipe de la Réunion participerait aux demi-finales.
Cette dernière avait fait l’objet d’une réclamation de la part des sélections seychelloise et mauricienne, ces dernières considérant que la joueuse du Cannet -élue meilleure joueuse de France- ne répondait pas aux critères de sélection imposés dans la charte des Jeux dont notamment le nombre d'années jouées dans un club réunionnais.
Selon les Mauriciens, Myriam Kloster ne réunirait pas les cinq années de licence à la Réunion nécessaire à sa participation aux JIOI. La Fédération française de volley-ball avait pourtant fourni les preuves, acceptées avant le début des Jeux des Îles par le Cros, qu'elle avait été inscrite trois ans à la Réunion à l'ASPTT, puis trois ans au pôle espoir de Saint-Raphaël avec une double licence. Soit une année de plus que ce qu'exigent les règlements des Jeux.
Malgré tout, le COJ, présidé par un Mauricien, avait décidé de donner raison à la requête mauricienne.
Ce matin, la délégation réunionnaise a porté au Comité d'organisation une nouvelle pièce au dossier de sa joueuse. Cette pièce sera examinée demain par le CIJ. En conséquence, décision a été prise de reporter les demi-finales à demain. Dans l'hypothèse où le recours de la délégation réunionnaise serait pris en compte, Myriam Kloster pourrait jouer, les points marqués par la Réunion suite à ses deux victoires seraient comptabilisés et l'équipe de la Réunion participerait aux demi-finales.