FAITS DIVERS
L’information est reprise par les deux journaux : un homme a été tué de plusieurs coups de couteau, dans le quartier de Ravine-Blanche à Saint-Pierre. Le corps de l’homme de 44 ans a été retrouvé dans la cage d’escalier du dernier étage de l’immeuble de la SIDR François-de-Mahy. L’auteur des fait aurait été interpellé.
« Trop de piétons tués sur les routes », titre le Quotidien qui s’intéresse aux chiffres de la sécurité routière pour 2012. Le bilan temporaire établit à 45 le nombre de personnes tuées sur les routes l’année dernière. 21 étaient des piétons. La moitié était en état d’ivresse. La préfecture note cependant des progrès, notamment en termes de contrôles routiers. Un dispositif qui ne peut malheureusement pas être transposé aux piétons.
ÉCONOMIE
« La mutation de Port Réunion se fait attendre« , titre le Jir. Port Réunion attend la mise en place du conseil de surveillance qui doit officialiser le changement de statut et de gouvernance. Depuis le 1er janvier, le port est devenu Grand port maritime. Lors de cette réunion, les fonctions de Stéphane Raison, nouveau président du directoire, seront confirmées.
SOCIÉTÉ
« Un restaurant de 1.300 m² sur le Barachois« , titre le Quotidien. L’ex-maison de la montagne, située en plein coeur du Barachois, est actuellement en rénovation. Le site accueillera un restaurant et un bar-lounge, d’ici la mi-avril. Le « Va Piano », franchise de restauration allemande, aura une capacité de 200 places. Une implantation qui devait contribuer à l’animation, aussi bien diurne que nocturne, du chef-lieu.
Le Jir s’intéresse à la gestion du risque requins. « Le bilan n’est pas brillant« , nous dit le journal. Une réunion est prévue aujourd’hui. L’État doit justifier sa marche arrière sur la question des vigies. Le bilan de la gestion du risque requins est plus que mitigé. Études, protocoles, pêches, marquages, travaux, toutes les mesures annoncées ont pris du retard. Si la municipalité de Saint-Paul s’est fortement mobilisée depuis la première attaque, les collectivités et l’état peinent à agir.