Toujours en pleine crise sanitaire, La Réunion est, dans le cadre de l'état d'urgence, sous le régime du confinement et du couvre-feu. La journée de vendredi dernier a été marquée de nombreux contrôles avec notamment ceux de la police, dans la circonscription de Saint-Denis l'après-midi, puis la gendarmerie dans plusieurs quartiers de Sainte-Marie dans la soirée.
Si tout s'est déroulé dans le calme l'après-midi, les gendarmes ont, en revanche, essuyé des jets de pierres lors de leur intervention nocturne. Après une enquête préliminaire en flagrance, des suspects potentiels ont pu être identifiés. Ce mardi matin à l'aube, les militaires ont mené une opération d'interpellation dans le quartier de la Réserve sur la commune de Sainte-Marie.
Il s'agissait de mettre la main sur plusieurs individus afin qu'ils répondent de leurs actes devant la justice. L'un d'entre eux a été arrêté, alors qu'un deuxième individu sera convoqué par la gendarmerie.
"Il est important, d'une part, d'établir une enquête judiciaire suite aux infractions d'insultes, jets de cailloux et de bouteilles sur les forces de l'ordre, mais aussi de rassurer la population qui n'est pas du tout en accord avec l'action de ces jeunes dans leur quartier", explique le Capitaine Bruno Perchicot, commandant en second de la compagnie de Gendarmerie de Saint-Benoît.
Si tout s'est déroulé dans le calme l'après-midi, les gendarmes ont, en revanche, essuyé des jets de pierres lors de leur intervention nocturne. Après une enquête préliminaire en flagrance, des suspects potentiels ont pu être identifiés. Ce mardi matin à l'aube, les militaires ont mené une opération d'interpellation dans le quartier de la Réserve sur la commune de Sainte-Marie.
Il s'agissait de mettre la main sur plusieurs individus afin qu'ils répondent de leurs actes devant la justice. L'un d'entre eux a été arrêté, alors qu'un deuxième individu sera convoqué par la gendarmerie.
"Il est important, d'une part, d'établir une enquête judiciaire suite aux infractions d'insultes, jets de cailloux et de bouteilles sur les forces de l'ordre, mais aussi de rassurer la population qui n'est pas du tout en accord avec l'action de ces jeunes dans leur quartier", explique le Capitaine Bruno Perchicot, commandant en second de la compagnie de Gendarmerie de Saint-Benoît.