Jérôme Talpin, l'homme des faits divers au JIR, semble avoir les chevilles qui enflent depuis qu'il a été nommé rédacteur en chef adjoint.
Dans son édito de ce matin (au fait, où est passé Yves Montrouge? Il écrit beaucoup moins depuis quelques temps...), il ajoute un post scriptum dans lequel il nous reproche d'avoir gentiment moucaté un article du JIR d'hier sur le patrimoine des élus dont le titre en Une nous annonçait des révélations croustillantes. Article de deux pages... qui ne nous a rien révélé. Et pour cause, puisque la loi nous interdit de livrer quelque détail que ce soit sur ces patrimoines...
Je cite Jérôme Talpin : "On sait qu’il aime se pâmer du costume de chevalier blanc. On le découvre avec le képi de la police des médias. Depuis quelques jours, Pierrot Dupuy formule avec zèle de sévères remontrances aux équipes du Jir et de Clicanoo. On apprécie, avec beaucoup de modestie, les bons conseils professionnels d’un journaliste qui a récemment enterré à tort, sur son site, un célèbre restaurateur du Sud qu'on espère bien portant".
Quand on veut donner des leçons aux autres, on commence par être précis.
D'abord, ce n'est pas moi qui ai annoncé cette mort mais un de mes journalistes, ami de toujours de ce "célèbre restaurateur", qui avait été informé par des membres de la famille du décès et qui l'avaient même convié à la veillée funéraire ! Et bien sûr, dès que j'ai été informé de la "bourde", j'ai immédiatement retiré l'article qui a dû rester environ une demi-heure en ligne et j'ai demandé à notre journaliste de présenter nos excuses à la famille.
Mais surtout, j'apprécie que ce soit Jérôme Talpin qui me donne des leçons de déontologie... C'est vrai qu'en matière de faits divers, secteur dont Jérôme Talpin a la responsabilité, le JIR est réputé pour faire dans la dentelle...
Dernier exemple en date : Zinfos annonce en exclusivité le 7 juillet dernier que c'est Dimitri Payet qui conduisait l'Audi RS5 flashée à 170km/h sur la route des Tamarins. Ce qui n'a pas empêché le même Jérôme Talpin de co-signer un article sur Clicanoo un peu plus tard, sans nous citer, au mépris de toutes les règles de déontologie de la profession...
Alors, à donneur de leçons, donneur de leçons et demi...
Dans son édito de ce matin (au fait, où est passé Yves Montrouge? Il écrit beaucoup moins depuis quelques temps...), il ajoute un post scriptum dans lequel il nous reproche d'avoir gentiment moucaté un article du JIR d'hier sur le patrimoine des élus dont le titre en Une nous annonçait des révélations croustillantes. Article de deux pages... qui ne nous a rien révélé. Et pour cause, puisque la loi nous interdit de livrer quelque détail que ce soit sur ces patrimoines...
Je cite Jérôme Talpin : "On sait qu’il aime se pâmer du costume de chevalier blanc. On le découvre avec le képi de la police des médias. Depuis quelques jours, Pierrot Dupuy formule avec zèle de sévères remontrances aux équipes du Jir et de Clicanoo. On apprécie, avec beaucoup de modestie, les bons conseils professionnels d’un journaliste qui a récemment enterré à tort, sur son site, un célèbre restaurateur du Sud qu'on espère bien portant".
Quand on veut donner des leçons aux autres, on commence par être précis.
D'abord, ce n'est pas moi qui ai annoncé cette mort mais un de mes journalistes, ami de toujours de ce "célèbre restaurateur", qui avait été informé par des membres de la famille du décès et qui l'avaient même convié à la veillée funéraire ! Et bien sûr, dès que j'ai été informé de la "bourde", j'ai immédiatement retiré l'article qui a dû rester environ une demi-heure en ligne et j'ai demandé à notre journaliste de présenter nos excuses à la famille.
Mais surtout, j'apprécie que ce soit Jérôme Talpin qui me donne des leçons de déontologie... C'est vrai qu'en matière de faits divers, secteur dont Jérôme Talpin a la responsabilité, le JIR est réputé pour faire dans la dentelle...
Dernier exemple en date : Zinfos annonce en exclusivité le 7 juillet dernier que c'est Dimitri Payet qui conduisait l'Audi RS5 flashée à 170km/h sur la route des Tamarins. Ce qui n'a pas empêché le même Jérôme Talpin de co-signer un article sur Clicanoo un peu plus tard, sans nous citer, au mépris de toutes les règles de déontologie de la profession...
Alors, à donneur de leçons, donneur de leçons et demi...