Le surfeur réunionnais, Jérémy Flores, poursuit l’organisation de défense du milieu marin, Sea Shepherd, pour diffamation, selon la presse locale. Le tribunal correctionnel de Dax se penchait lundi sur Jérémy Florès qui qualifie un commentaire de l’association posté après l’attaque mortelle du 21 février à Saint-André, comme diffamatoire. « « Florès et le gouvernement français sont complices des circonstances qui ont vu 20 attaques depuis 2011 dont 8 ont été mortelles », avait annoncé Paul Watson, patron de Sea Shepherd.
Ces propos étaient en réponse à l’appel à l’abattage massif de requins posté par Kelly Slater, champion de surf, sur le compte Instagram de Jérémy Flores.
Les juges ont mis leur décision en délibéré.