
C'est donc au sein de l'hémicycle Pierre Lagourgue du Conseil régional qu'a eu lieu l'assemblée plénière du Conseil économique social et environnemental de la Réunion hier après-midi. Le dernier exercice à sa tête pour son président, Jean-Raymond Mondon, après deux mandats consécutifs.
Voilà douze ans (ndlr : depuis juillet 1998) que ce dernier est en effet à la tête du CESR devenu entre temps CESER, pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux.
Les nouveaux conseillers installés le 3 décembre
Au terme de cette mandature, qui a débuté le 9 février 2005, Jean-Raymond Mondon s'est félicité de la productivité du conseil composé de catégories socioprofessionnelles diverses et plus généralement des forces vives de l'île.
Une chose est sûre. Dans les prochains jours, un arrêté préfectoral prendra acte des candidatures soumises à désignation au sein des quatre collèges que comporte le CESER. Un second arrêté, avant la fin du mois de novembre entérinera définitivement ces nominations.
Enfin, le 3 décembre prochain devra se tenir l'assemblée plénière d'installation des nouveaux membres du conseil consultatif.
Avant ces échéances à très court terme, Jean-Raymond Mondon est donc revenu sur cinq années d'un mandat riche et diversifié. La crise du chikungunya est passée par là. C'était en 2006, déjà. Plus habituels, les thématiques récurrentes dont a la charge cet organisme ad-hoc du Conseil régional que sont la problématique des déplacements, la question du développement touristique de l'île, de la réforme territoriale voulue par le président de la République en 2008 ou encore le très attendu Schéma d'aménagement régional. Un document, en cours de finition, qui devra orienter les collectivités territoriales pour une gestion optimum des terres à la Réunion, entre contraintes pour le secteur du logement et terres agricoles.
Voilà douze ans (ndlr : depuis juillet 1998) que ce dernier est en effet à la tête du CESR devenu entre temps CESER, pour une meilleure prise en compte des enjeux environnementaux.
Les nouveaux conseillers installés le 3 décembre
Au terme de cette mandature, qui a débuté le 9 février 2005, Jean-Raymond Mondon s'est félicité de la productivité du conseil composé de catégories socioprofessionnelles diverses et plus généralement des forces vives de l'île.
Une chose est sûre. Dans les prochains jours, un arrêté préfectoral prendra acte des candidatures soumises à désignation au sein des quatre collèges que comporte le CESER. Un second arrêté, avant la fin du mois de novembre entérinera définitivement ces nominations.
Enfin, le 3 décembre prochain devra se tenir l'assemblée plénière d'installation des nouveaux membres du conseil consultatif.
Avant ces échéances à très court terme, Jean-Raymond Mondon est donc revenu sur cinq années d'un mandat riche et diversifié. La crise du chikungunya est passée par là. C'était en 2006, déjà. Plus habituels, les thématiques récurrentes dont a la charge cet organisme ad-hoc du Conseil régional que sont la problématique des déplacements, la question du développement touristique de l'île, de la réforme territoriale voulue par le président de la République en 2008 ou encore le très attendu Schéma d'aménagement régional. Un document, en cours de finition, qui devra orienter les collectivités territoriales pour une gestion optimum des terres à la Réunion, entre contraintes pour le secteur du logement et terres agricoles.

Un travail d'expertise salué
C'est donc à un véritable exercice rétrospectif que s'est livré le président du CESER et ses conseillers pendant plus de trois heures au Conseil régional. Selon Didier Lamotte, directeur du CESER, l'activité du conseil sous la présidence Mondon a redonné toutes ses lettres de noblesse à l'institution, dont l'avis simplement consultatif voulu par la Constitution elle-même, en fait, finalement, sa principale faiblesse.
Son travail d'expertise, autant que possible détaché des intérêts politiques, constitue cependant, à la Réunion comme dans les 25 autres régions de France, une aide précieuse à la décision des assemblées régionales.
Enfin, le dernier signal fort du regain d'intérêt autour de l'assemblée consultative avant la fin de cette mandature fut la présence remarquée du président de Région, Didier Robert, lors de l'assemblée plénière du 3 novembre dernier.
C'est donc à un véritable exercice rétrospectif que s'est livré le président du CESER et ses conseillers pendant plus de trois heures au Conseil régional. Selon Didier Lamotte, directeur du CESER, l'activité du conseil sous la présidence Mondon a redonné toutes ses lettres de noblesse à l'institution, dont l'avis simplement consultatif voulu par la Constitution elle-même, en fait, finalement, sa principale faiblesse.
Son travail d'expertise, autant que possible détaché des intérêts politiques, constitue cependant, à la Réunion comme dans les 25 autres régions de France, une aide précieuse à la décision des assemblées régionales.
Enfin, le dernier signal fort du regain d'intérêt autour de l'assemblée consultative avant la fin de cette mandature fut la présence remarquée du président de Région, Didier Robert, lors de l'assemblée plénière du 3 novembre dernier.