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Le ministre de l'Éducation nationale s'est déclaré ce matin sur CNews en faveur de la présence de policiers "dans certains cas" au sein des établissements scolaires.
"Je peux être favorable dans des cas particuliers, et Nice peut être un cas particulier, eu égard à l'attentat qu'ils ont subi, pour faire cette expérimentation de policiers qui sont dans l'école", a-t-il expliqué.
Pour endiguer la violence, la ville de Nice expérimente depuis avril dernier un dispositif sécuritaire au sein de trois groupes scolaires qui ont bénéficié de la présence de policiers municipaux non armée pendant trois mois à l'intérieur même des écoles.
Ces forces de l'ordre ont permis, entre autres, d'arrêter un individu menaçant, d'intercepter du cannabis ou encore d'empêcher un livreur de rentrer avec un couteau.
Mais pour le ministre, il ne faut pas simplement sécuriser l'enceinte de l'école. "Il y a les abords de l'établissement, c'est-à-dire les choses qui ne dépendent pas directement de l'éducation, où l'on doit avoir une coopération beaucoup plus forte entre la police et l'Éducation nationale, et c'est le sens de la réunion avec Christophe Castaner demain matin", a précisé Jean-Michel Blanquer.
Cette déclaration intervient quelques jours après l'incident de Créteil, au cours duquel un élève de 15 ans a pointé une arme sur son professeur. Une agression qui relance le débat des violences à l'école et de la sécurité au sein des établissements.
"Je peux être favorable dans des cas particuliers, et Nice peut être un cas particulier, eu égard à l'attentat qu'ils ont subi, pour faire cette expérimentation de policiers qui sont dans l'école", a-t-il expliqué.
Pour endiguer la violence, la ville de Nice expérimente depuis avril dernier un dispositif sécuritaire au sein de trois groupes scolaires qui ont bénéficié de la présence de policiers municipaux non armée pendant trois mois à l'intérieur même des écoles.
Ces forces de l'ordre ont permis, entre autres, d'arrêter un individu menaçant, d'intercepter du cannabis ou encore d'empêcher un livreur de rentrer avec un couteau.
Mais pour le ministre, il ne faut pas simplement sécuriser l'enceinte de l'école. "Il y a les abords de l'établissement, c'est-à-dire les choses qui ne dépendent pas directement de l'éducation, où l'on doit avoir une coopération beaucoup plus forte entre la police et l'Éducation nationale, et c'est le sens de la réunion avec Christophe Castaner demain matin", a précisé Jean-Michel Blanquer.
Cette déclaration intervient quelques jours après l'incident de Créteil, au cours duquel un élève de 15 ans a pointé une arme sur son professeur. Une agression qui relance le débat des violences à l'école et de la sécurité au sein des établissements.