
Après la restitution du Grand Débat National, le Président de la République ne répond toujours pas aux attentes profondes exprimées depuis des mois par un grand nombre de Françaises et de Français.
Le Président de la République a enfoncé des portes ouvertes et il s’est d’abord écouté parler. Il reste sur sa planète qui tourne dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.
Aucune visibilité, aucune lisibilité sur les annonces. Il a juste été annoncé un inventaire à la Prévert sans l’amélioration immédiate de la vie quotidienne des Françaises et des Français. Les fins de mois resteront toujours aussi difficiles pour la majorité d’entre eux.
L’augmentation significative du pouvoir d’achat, la réduction des impôts, les attentes démocratiques ne sont pas au rendez-vous. L’efficacité des mesures économiques et sociales annoncées n’est pas démontrée.
S’attaquer à la réduction du chômage doit être une priorité pour augmenter la croissance afin de donner plus de pouvoir d’achat et plus de services publics. Je déplore que cet axe n’ait pas été développé davantage.
Aujourd’hui l’urgence n’est plus de débattre, d’exposer ou faire de l’autosatisfaction mais bien de prendre des actes forts qui s’imposent.
Rien ne change et je le déplore, encore une fois. Trop de temps est perdu.
La jeunesse, les étudiants, les artisans, les agriculteurs, les petits et moyens commerçants, la classe moyenne et les retraités demandent plus de solidarité sociale.
Je suis à vos côtés et c’est ensemble que nous mènerons le combat pour une société plus juste et meilleure. L’action, c’est aujourd’hui et non demain. Agir maintenant, pour le présent et pour le futur !
Le Président de la République a enfoncé des portes ouvertes et il s’est d’abord écouté parler. Il reste sur sa planète qui tourne dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.
Aucune visibilité, aucune lisibilité sur les annonces. Il a juste été annoncé un inventaire à la Prévert sans l’amélioration immédiate de la vie quotidienne des Françaises et des Français. Les fins de mois resteront toujours aussi difficiles pour la majorité d’entre eux.
L’augmentation significative du pouvoir d’achat, la réduction des impôts, les attentes démocratiques ne sont pas au rendez-vous. L’efficacité des mesures économiques et sociales annoncées n’est pas démontrée.
S’attaquer à la réduction du chômage doit être une priorité pour augmenter la croissance afin de donner plus de pouvoir d’achat et plus de services publics. Je déplore que cet axe n’ait pas été développé davantage.
Aujourd’hui l’urgence n’est plus de débattre, d’exposer ou faire de l’autosatisfaction mais bien de prendre des actes forts qui s’imposent.
Rien ne change et je le déplore, encore une fois. Trop de temps est perdu.
La jeunesse, les étudiants, les artisans, les agriculteurs, les petits et moyens commerçants, la classe moyenne et les retraités demandent plus de solidarité sociale.
Je suis à vos côtés et c’est ensemble que nous mènerons le combat pour une société plus juste et meilleure. L’action, c’est aujourd’hui et non demain. Agir maintenant, pour le présent et pour le futur !