Il est parti cette fois-ci sans étiquette mais "sans renier son idéologie de gauche", assure-t-il. Jean-Jacques Vlody, conseiller municipal de l’opposition, a ce vendredi dévoilé les contours de son programme et présenté ses colistiers.
Parmi les 49 personnes, 7 ont déjà eu une expérience de candidature à des élections. Pour le reste, il s’agit d’un premier engagement "et en cela nous nous distinguons des autres listes". Le candidat a voulu donner une place à la jeunesse, deux ont la petite vingtaine, 8 ont moins de 30 ans. "Pas de débauchage ni d’exhibitionnisme pour montrer qu’on est capable de rassembler", tacle-t-il.
Depuis qu’il a quitté le parti socialiste pour créer son mouvement politique l’Union Citoyenne pour le Tampon en 2008, Jean-Jacques Vlody mise sur "l’action citoyenne" à travers "la proximité, le développement durable et le développement économique sur des réponses concrètes".
L’ex-député, aux côtés de Marie-Annick Saperdon, présidente de Vigilance Terre (auparavant nommée Defend Nout’Terrain), a également placé comme enjeu de son programme la problématique du foncier. Le candidat s’est engagé à "régulariser toutes les habitations existantes sur le territoire", étant entendu "non soumises à des contraintes de sécurité". Jean-Jacques Vlody veut faire ici référence à "une cacophonie du plan urbain" : "des parcelles contiguës aux statuts différents qui dépendent de l’engagement du propriétaire" et "de manipulations des administrés sur le plan de prévention des risques".
En matière d’aménagement, le candidat veut également "dans un rééquilibrage entre Le Tampon et Saint-Pierre", créer un multiplexe, "complémentaire de Pierrefonds", de 7 salles de cinéma, un bowling, des restaurants, une salle e-sport et l'agrandissement du théâtre Luc Donat et de la médiathèque avec "plus de 100 emplois créés à la clé".
Sur le plan de la santé et de l’éducation, Jean-Jacques Vlody s’engage notamment sur la gratuité de la cantine scolaire qui délivrerait "des repas bio et des produits de bonne qualité sans pesticide dangereux de type glyphosate".
Parmi les 49 personnes, 7 ont déjà eu une expérience de candidature à des élections. Pour le reste, il s’agit d’un premier engagement "et en cela nous nous distinguons des autres listes". Le candidat a voulu donner une place à la jeunesse, deux ont la petite vingtaine, 8 ont moins de 30 ans. "Pas de débauchage ni d’exhibitionnisme pour montrer qu’on est capable de rassembler", tacle-t-il.
Depuis qu’il a quitté le parti socialiste pour créer son mouvement politique l’Union Citoyenne pour le Tampon en 2008, Jean-Jacques Vlody mise sur "l’action citoyenne" à travers "la proximité, le développement durable et le développement économique sur des réponses concrètes".
L’ex-député, aux côtés de Marie-Annick Saperdon, présidente de Vigilance Terre (auparavant nommée Defend Nout’Terrain), a également placé comme enjeu de son programme la problématique du foncier. Le candidat s’est engagé à "régulariser toutes les habitations existantes sur le territoire", étant entendu "non soumises à des contraintes de sécurité". Jean-Jacques Vlody veut faire ici référence à "une cacophonie du plan urbain" : "des parcelles contiguës aux statuts différents qui dépendent de l’engagement du propriétaire" et "de manipulations des administrés sur le plan de prévention des risques".
En matière d’aménagement, le candidat veut également "dans un rééquilibrage entre Le Tampon et Saint-Pierre", créer un multiplexe, "complémentaire de Pierrefonds", de 7 salles de cinéma, un bowling, des restaurants, une salle e-sport et l'agrandissement du théâtre Luc Donat et de la médiathèque avec "plus de 100 emplois créés à la clé".
Sur le plan de la santé et de l’éducation, Jean-Jacques Vlody s’engage notamment sur la gratuité de la cantine scolaire qui délivrerait "des repas bio et des produits de bonne qualité sans pesticide dangereux de type glyphosate".