Suite à la suppression d’un poste d’enseignant pour la rentrée 2014 à l’Adapei, les parents d'élèves se sont mobilisés à plusieurs reprises afin que le Rectorat prenne en considération leurs inquiétudes. Soutenus par le député Jean-Jacques Vlody, ils ont saisi le Rectorat dès le mois de juillet sur la question des moyens affectés à l'Adapei.
En supprimant un poste d'enseignant, c'est toute l'organisation de l'Adapei qui a été perturbée sur ses deux structures du Tampon, IMP et IMPro. "Cette suppression d’un poste d’enseignant a entraîné pour les enfants une perte de 3 et 5 heures de temps scolaire, ce temps ne pouvant aucunement être remplacé par du temps thérapeutique et du temps éducatif", explique Jean-Jacques Vlody.
A l'école Antoine Lucas, où les enfants sont scolarisés en CLIS, les élèves n'ont plus école le vendredi après-midi. Sept jeunes de 19 ans ne sont désormais plus scolarisés. Au collège du 12ème, trois demi-journées de temps scolaire ont été supprimées ce qui a nécessité le recrutement d'une AVS chargée de surveiller les enfants dans le collège durant ces trois demi-journées.
De plus, l'ADAPEI pourrait être contrainte dans le cadre de cette réorganisation des moyens qui lui sont affectés, de supprimer la classe externalisée au collège du 12ème.
Après avoir demandé au Rectorat de "conserver les moyens qui étaient affectés à l’Adapei l'année scolaire précédente afin qu’elle puisse maintenir un poste supplémentaire et ainsi permettre aux enfants une scolarité dans de bonnes conditions", le député socialiste a obtenu ce matin "grâce à la mobilisation des parents d’élèves, la réévaluation des moyens affectés à l’Adapei. L’association et le Rectorat doivent à présent se rencontrer le plus rapidement possible compte tenu de l’urgence de la situation", annonce Jean-Jacques Vlody.
En supprimant un poste d'enseignant, c'est toute l'organisation de l'Adapei qui a été perturbée sur ses deux structures du Tampon, IMP et IMPro. "Cette suppression d’un poste d’enseignant a entraîné pour les enfants une perte de 3 et 5 heures de temps scolaire, ce temps ne pouvant aucunement être remplacé par du temps thérapeutique et du temps éducatif", explique Jean-Jacques Vlody.
A l'école Antoine Lucas, où les enfants sont scolarisés en CLIS, les élèves n'ont plus école le vendredi après-midi. Sept jeunes de 19 ans ne sont désormais plus scolarisés. Au collège du 12ème, trois demi-journées de temps scolaire ont été supprimées ce qui a nécessité le recrutement d'une AVS chargée de surveiller les enfants dans le collège durant ces trois demi-journées.
De plus, l'ADAPEI pourrait être contrainte dans le cadre de cette réorganisation des moyens qui lui sont affectés, de supprimer la classe externalisée au collège du 12ème.
Après avoir demandé au Rectorat de "conserver les moyens qui étaient affectés à l’Adapei l'année scolaire précédente afin qu’elle puisse maintenir un poste supplémentaire et ainsi permettre aux enfants une scolarité dans de bonnes conditions", le député socialiste a obtenu ce matin "grâce à la mobilisation des parents d’élèves, la réévaluation des moyens affectés à l’Adapei. L’association et le Rectorat doivent à présent se rencontrer le plus rapidement possible compte tenu de l’urgence de la situation", annonce Jean-Jacques Vlody.
