Jean-Jacques Morel se lance dans la course des législatives. Le porte-parole d’Objectif Réunion a officialisé ce mardi 11 avril 2017 sa candidature dans la 1ère circonscription, à la permanence dionysienne des Républicains, autour de plusieurs personnalités de la droite et du centre. Face à une gauche "qui a déçu" depuis cinq ans, Jean-Jacques Morel propose un "large rassemblement des Dionysiens".
La candidature de Jean-Jacques Morel dans cette circonscription tenue depuis 2012 par Ericka Bareigts (PS) a reçu l’approbation de l’ensemble de la droite et du centre. Et même d’une droite dionysienne particulièrement divisée ces dernières années. "Je tiens à saluer la présence à mes côtés de Didier Robert, Nassimah Dindar, Jean-Paul Virapoullé, de Béatrice Sigismeau qui représente Michel Fontaine, sans oublier celle de René-Paul Victoria. J’ai été l’adjoint de ce dernier lorsqu’il était aux affaires à la mairie de Saint-Denis, sa présence est un réconfort pour moi", clame l’avocat dionysien, qui n’oublie pas ses collègues de l’opposition dans le chef-lieu "qui mènent la fronde contre l’équipe Annette-Bareigts-Orphé".
Pour Jean-Jacques Morel, force est de constater que le gouvernement a laissé depuis 2012 "un champ de ruines", notamment dans les Outre-Mer. "Le gouvernement a échoué sur la question du chômage, qui était pourtant l’engagement majeur du président de la République. Depuis 2012, le nombre de chômeurs à La Réunion est passé de 137 000 à 162 000, soit une augmentation de 20%. Cela n’a pas empêcher les socialistes de raboter dans des dispositifs comme la LODEOM. Notre économie a été maltraitée comme jamais", déplore le candidat à la députation.
Une responsabilité qui incombe avant tout à François Hollande pour Jean-Jacques Morel, mais pas que. "Peut-on exonérer ses ministres et notamment Emmanuel Macron, qui a été le principal instigateur de la politique économique du chef de l’État depuis 2012 ? Et que dire du rôle d’Ericka Bareigts, co-responsable de cet échec majeur et qui participe à cette fin de quinquennat crépusculaire dans les outremer ? Notre ministre des Outre-Mer a préféré venir faire campagne pour les législatives alors que la situation est critique en Guyane", poursuit-il.
La candidature de Jean-Jacques Morel dans cette circonscription tenue depuis 2012 par Ericka Bareigts (PS) a reçu l’approbation de l’ensemble de la droite et du centre. Et même d’une droite dionysienne particulièrement divisée ces dernières années. "Je tiens à saluer la présence à mes côtés de Didier Robert, Nassimah Dindar, Jean-Paul Virapoullé, de Béatrice Sigismeau qui représente Michel Fontaine, sans oublier celle de René-Paul Victoria. J’ai été l’adjoint de ce dernier lorsqu’il était aux affaires à la mairie de Saint-Denis, sa présence est un réconfort pour moi", clame l’avocat dionysien, qui n’oublie pas ses collègues de l’opposition dans le chef-lieu "qui mènent la fronde contre l’équipe Annette-Bareigts-Orphé".
Pour Jean-Jacques Morel, force est de constater que le gouvernement a laissé depuis 2012 "un champ de ruines", notamment dans les Outre-Mer. "Le gouvernement a échoué sur la question du chômage, qui était pourtant l’engagement majeur du président de la République. Depuis 2012, le nombre de chômeurs à La Réunion est passé de 137 000 à 162 000, soit une augmentation de 20%. Cela n’a pas empêcher les socialistes de raboter dans des dispositifs comme la LODEOM. Notre économie a été maltraitée comme jamais", déplore le candidat à la députation.
Une responsabilité qui incombe avant tout à François Hollande pour Jean-Jacques Morel, mais pas que. "Peut-on exonérer ses ministres et notamment Emmanuel Macron, qui a été le principal instigateur de la politique économique du chef de l’État depuis 2012 ? Et que dire du rôle d’Ericka Bareigts, co-responsable de cet échec majeur et qui participe à cette fin de quinquennat crépusculaire dans les outremer ? Notre ministre des Outre-Mer a préféré venir faire campagne pour les législatives alors que la situation est critique en Guyane", poursuit-il.
La droite dionysienne rassemblée pr #legislatives2017 dans 1ère circonscription à #LaReunion. Une 1ère depuis lgtps. pic.twitter.com/dWf9FxMxWP
— Samuel Irlepenne (@samzinfos974) 11 avril 2017
Pour créer les chances d’une "véritable alternance", Jean-Jacques Morel propose notamment de s’appuyer sur l’arrêt Mayotte, qui permet aux Outre-Mer "d’aller chercher des fonds à Bruxelles pour construire un nouveau modèle de développement avec nos propres spécificités".
Outre l’arrêt Mayotte, Jean-Jacques Morel s’est également prononcé pour la relance d ‘une nouvelle défiscalisation Outre-Mer, l’ouverture de nouvelles zones franches, ou encore une réforme du RSI. Pour les travailleurs indépendants, Jean-Jacques Morel propose, dans le cadre d’une loi programme, une baisse de la fiscalité.
La candidature de Jean-Jacques Morel a été saluée par l’ensemble de la droite péi. À commencer par Jean-Paul Virapoullé, qui ne tarit pas d’éloges sur le porte-parole d’Objectif Réunion. "À Saint-Denis comme partout à La Réunion, la situation s’est dégradée sur tous les plans. Pour preuve, Manuel Valls et Emmanuel Macron ont poussé dehors le président de la République. Dans ce contexte de ruine et de désordre politique, notre devoir est de construire un chemin et tenir un engagement solennel. Pour cela, il faut envoyer un député qui sache préparer une loi. Jean-Jacques Morel est un bon avocat pour les cause justes. Et la défense du nouveau modèle de développement de La Réunion est une cause juste", déclare le maire de Saint-André.
Le président de Région, Didier Robert, s’est félicité pour sa part de cette "union" réalisée autour de la personne de Jean-Jacques Morel, qui a reçu le soutien de l’ancien maire de Saint-Denis, René-Paul Victoria. "René-Paul Victoria porte une vrai expérience sur cette circonscription et cette ville. Il renforce la dynamique de l’union engagée depuis plusieurs mois et le travail de construction engagé depuis plusieurs années. C’est un réel bonheur de voir notre famille s’élargir", indique le sénateur.
Outre l’arrêt Mayotte, Jean-Jacques Morel s’est également prononcé pour la relance d ‘une nouvelle défiscalisation Outre-Mer, l’ouverture de nouvelles zones franches, ou encore une réforme du RSI. Pour les travailleurs indépendants, Jean-Jacques Morel propose, dans le cadre d’une loi programme, une baisse de la fiscalité.
La candidature de Jean-Jacques Morel a été saluée par l’ensemble de la droite péi. À commencer par Jean-Paul Virapoullé, qui ne tarit pas d’éloges sur le porte-parole d’Objectif Réunion. "À Saint-Denis comme partout à La Réunion, la situation s’est dégradée sur tous les plans. Pour preuve, Manuel Valls et Emmanuel Macron ont poussé dehors le président de la République. Dans ce contexte de ruine et de désordre politique, notre devoir est de construire un chemin et tenir un engagement solennel. Pour cela, il faut envoyer un député qui sache préparer une loi. Jean-Jacques Morel est un bon avocat pour les cause justes. Et la défense du nouveau modèle de développement de La Réunion est une cause juste", déclare le maire de Saint-André.
Le président de Région, Didier Robert, s’est félicité pour sa part de cette "union" réalisée autour de la personne de Jean-Jacques Morel, qui a reçu le soutien de l’ancien maire de Saint-Denis, René-Paul Victoria. "René-Paul Victoria porte une vrai expérience sur cette circonscription et cette ville. Il renforce la dynamique de l’union engagée depuis plusieurs mois et le travail de construction engagé depuis plusieurs années. C’est un réel bonheur de voir notre famille s’élargir", indique le sénateur.
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