
Aujourd'hui, c'est la Journée nationale sans tabac. A cette occasion, le service d'addictologie du CHU de la Réunion a organisé plusieurs ateliers prévention à destination des jeunes autour de la nocivité du tabac. Au cours de ces ateliers, plusieurs anciens fumeurs sont venus témoigner sur les risques liés à la consommation de tabac, notamment Jean-Hugues, ancien fumeur et qui était arrivé à s'en "griller" 40 par jour pendant les 30 dernières années.
"Je fumais deux paquets par jour. Mais il y a quatre mois, j'ai décidé d'arrêter", explique-t-il. Et pour arriver à se débarrasser de cette "drogue", Jean-Hugues est allé consulter le service d'addictologie. Une consultation pas anodine car sa santé était en jeu. "On avait décelé une artère qui commençait à se boucher dans la jambe. Mon médecin m'a dit : 'soit vous arrêtez, soit vous perdez votre jambe dans un an'", poursuit-il. Une annonce qui fait réfléchir.
"Cela a été très dur au départ. Mais j'avais de la volonté", précise-t-il. Passer de 40 cigarettes à zéro n'est pas donné à tout le monde tant la notion de dépendance vis-à-vis du tabac peut-être forte chez certaines personnes. "J'ai mis des patchs, pris des bonbons, mais surtout j'ai été sensibilisé par les images que l'ont vous montre au service addictologie", souligne-t-il. Un choc pour lui. Mais l'arrêt du tabac a eu un autre aspect positif. "J'ai pu économiser depuis 4 mois 1.200 euros et je vais pouvoir m'offrir des vacances. Je pars en juillet", explique-t-il le sourire aux lèvres.
Depuis l'arrêt du tabac, Jean-Hugues se sent revivre. "Maintenant je vis mieux et je respire mieux", conclut-il.
"Je fumais deux paquets par jour. Mais il y a quatre mois, j'ai décidé d'arrêter", explique-t-il. Et pour arriver à se débarrasser de cette "drogue", Jean-Hugues est allé consulter le service d'addictologie. Une consultation pas anodine car sa santé était en jeu. "On avait décelé une artère qui commençait à se boucher dans la jambe. Mon médecin m'a dit : 'soit vous arrêtez, soit vous perdez votre jambe dans un an'", poursuit-il. Une annonce qui fait réfléchir.
"Cela a été très dur au départ. Mais j'avais de la volonté", précise-t-il. Passer de 40 cigarettes à zéro n'est pas donné à tout le monde tant la notion de dépendance vis-à-vis du tabac peut-être forte chez certaines personnes. "J'ai mis des patchs, pris des bonbons, mais surtout j'ai été sensibilisé par les images que l'ont vous montre au service addictologie", souligne-t-il. Un choc pour lui. Mais l'arrêt du tabac a eu un autre aspect positif. "J'ai pu économiser depuis 4 mois 1.200 euros et je vais pouvoir m'offrir des vacances. Je pars en juillet", explique-t-il le sourire aux lèvres.
Depuis l'arrêt du tabac, Jean-Hugues se sent revivre. "Maintenant je vis mieux et je respire mieux", conclut-il.