Revenir à la rubrique : Blog de Pierrot

Jacques Tillier reprend la plume

Jacques Tillier est de retour… Pas encore à la Réunion, même s’il ne devrait pas tarder à nous rendre une petite visite, histoire de dédicacer son livre qui sortira en librairie le 13 février prochain. Nous pouvons déjà vous annoncer que l’ancien patron et rédacteur en chef du JIR consacrera plusieurs chapitres à son passage […]

Ecrit par zinfos974 – le mardi 15 janvier 2013 à 23H44

Jacques Tillier est de retour…

Pas encore à la Réunion, même s’il ne devrait pas tarder à nous rendre une petite visite, histoire de dédicacer son livre qui sortira en librairie le 13 février prochain. Nous pouvons déjà vous annoncer que l’ancien patron et rédacteur en chef du JIR consacrera plusieurs chapitres à son passage à la Réunion. A l’occasion de sa visite, Zinfos devrait vous réserver une surprise…

Voici par Jacques Tillier la présentation de son livre : « 16 ans, sans diplôme, j’intègre l’école des mousses, puis les fusiliers commandos de la marine, et pour quelques mois la prison des Baumettes. Quarante-neuf ans plus tard, je rends ma carte de presse. Entre-temps j’ai été un an flic à la DST, et trente-huit ans journaliste, grand reporter, rédacteur en chef, P-DG pour le Groupe Hersant Média à La Réunion, ainsi qu’en Champagne-Ardenne et Picardie. J’ai aimé ce métier passionnément. J’ai parfois mis le pied en dehors des clous, loin des réseaux parisiens. J’ai arpenté le Tchad, les palais officiels en Guinée et au Cameroun, rejoint Ushuaia pendant la guerre des Malouines, suivi de près la vie politique des îles des Mascareignes et celle de l’archipel des Comores. J’ai croisé des chefs d’États, des « conseillers spéciaux », des hommes politiques de tous bords, des magistrats – souvent soumis au pouvoir –, des voyous petits et gros, dont deux d’entre eux m’ont laissé pour mort, le 10 septembre 1979. Après toutes ces vies, une chose est sûre : je quitte ce métier debout, sans jamais avoir plié« . Et l’éditeur ajoute : « Journaliste connu pour avoir été grièvement blessé par Jacques Mesrine, Jacques Tillier a toujours revendiqué son indépendance. Dans cette autobiographie, il nous livre quarante ans de journalisme, et les dessous d’une République française qu’il dépeint avec truculence« .

Mais faut croire qu’une fois le dernier point posé sur son manuscrit, il a soudainement été saisi d’une nouvelle envie d’écrire. C’est ainsi qu’il a décidé de tenir une chronique sur le site Boulevard Voltaire, aux côtés de plumes célèbres. Sa première victime, son ancien patron, Philippe Hersant…

Dans un article intitulé « Philippe Hersant rase les murs mais court toujours« , il revient avec la plume qu’on lui connait sur le rachat par Benard Tapie, associé pour l’occasion à Philippe Hersant, qui a réussi à « rafler à bon prix les quotidiens régionaux du sud de Nice-Matin à La Provence, ce qui ébranle politiquement les socialistes marseillais et parisiens —, ce hold-up officiel de 166 millions béni par Bercy devenu entre temps socialiste n’a fait que peu de bruit. Les banques, n’ayant fait aucun commentaire, se rattraperont sur le con de base, le client ».

Du Jacques Tillier tout craché…

 

Thèmes :
Message fin article

Avez-vous aimé cet article ?

Partagez-le sans tarder sur les réseaux sociaux, abonnez-vous à notre Newsletter,
et restez à l'affût de nos dernières actualités en nous suivant sur Google Actualités.

Pour accéder à nos articles en continu, voici notre flux RSS : https://www.zinfos974.com/feed
Une meilleure expérience de lecture !
nous suggérons l'utilisation de Feedly.

S’abonner
Notification pour
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Dans la même rubrique

Pierrot Dupuy : Les ennemis de mes ennemis sont mes amis

La question a tourné en boucle sur toutes les radios et toutes les télévisions durant le week-end : Le Rassemblement national est-t-il devenu un parti fréquentable et a-t-il réellement abandonné les idées racistes de son fondateur Jean-Marie Le Pen?

Pierrot Dupuy – Ces salauds de chômeurs

Le patron des Républicains propose rien de moins que de vendre encore plus d’essence et de gasoil. Et cerise sur le gâteau, de le faire payer par ces salauds de chômeurs !