Les conflits ont parfois cela de bon qu'ils permettent la mise sur la place publique de scandales qui sinon seraient restés bien étouffés.
Au détour d'un procès entre l'Institut du Monde Arabe (IMA), présidé par Jack Lang, et un traiteur libanais qui louait des locaux à l'intérieur de l'Institut à Paris, on apprend que l'IMA doit au traiteur 41.000 euros pour 74 repas pris par Jack Lang avec sa femme en deux mois dans le restaurant.
Malgré plusieurs relances, l'IMA refusait de régler les factures... jusqu'à l'annonce du procès. Depuis, il a fait un chèque de 37.000 euros !
Cette somme de 41.000 euros aurait pu être bien plus conséquente quand on sait que Jack Lang avait négocié pour ne payer que 25 euros le repas, au lieu des 60 traditionnels...
Un appel d'offres a été lancé pour remplacer le traiteur libanais. Une des clauses prévoit que Jack Lang "devra bénéficier gracieusement et dans la limite de 1.000 couverts par an d'une table ouverte au Zyriab à longueur d'année". Ou encore que "le délégataire devra également assurer gracieusement un service café, thé, soft dans le bureau du président lorsque celui-ci reçoit des personnalités".
J'hésite entre plusieurs formules: "Mégalomanie, quand tu nous tiens" ou "Là où il y a de la gène, il n'y a pas de plaisir". Ou encore "L'argent i mank a nou" ?
Au détour d'un procès entre l'Institut du Monde Arabe (IMA), présidé par Jack Lang, et un traiteur libanais qui louait des locaux à l'intérieur de l'Institut à Paris, on apprend que l'IMA doit au traiteur 41.000 euros pour 74 repas pris par Jack Lang avec sa femme en deux mois dans le restaurant.
Malgré plusieurs relances, l'IMA refusait de régler les factures... jusqu'à l'annonce du procès. Depuis, il a fait un chèque de 37.000 euros !
Cette somme de 41.000 euros aurait pu être bien plus conséquente quand on sait que Jack Lang avait négocié pour ne payer que 25 euros le repas, au lieu des 60 traditionnels...
Un appel d'offres a été lancé pour remplacer le traiteur libanais. Une des clauses prévoit que Jack Lang "devra bénéficier gracieusement et dans la limite de 1.000 couverts par an d'une table ouverte au Zyriab à longueur d'année". Ou encore que "le délégataire devra également assurer gracieusement un service café, thé, soft dans le bureau du président lorsque celui-ci reçoit des personnalités".
J'hésite entre plusieurs formules: "Mégalomanie, quand tu nous tiens" ou "Là où il y a de la gène, il n'y a pas de plaisir". Ou encore "L'argent i mank a nou" ?