Suite à la décision du CIJ de [disqualifier définitivement la volleyeuse kréopolitaine Myriam Kloster]urlblank:http://www.zinfos974.com/MH370-De-nouveaux-objets-suspects-trouves-dans-l-Est_a88870.html , et de ce fait l’équipe féminine de la Réunion des Jeux des Iles, Thierry Robert réagit.
« J’ai fait le choix de ne pas participer jusqu’ici aux polémiques qui sont nées dans l’enchaînement des couacs et les arbitrages diplomatiques, convaincu que les Jeux sont d’abord la fête du sport, indique le député-maire de Saint-Leu dans un communiqué. Les athlètes se sont préparés depuis longtemps et méritaient de participer avec sérénité à leurs compétitions sans que la politique ne vienne rajouter aux incompréhensions diplomatiques ».
Mais la disqualification de Myriam Kloster n’a pas laissé Thierry Robert insensible: « Parce que le fair-play sportif est aujourd’hui gravement attaqué je sors de ma réserve pour dénoncer l’exclusion de Myriam Kloster autant que le disqualification de toute l’équipe et la décision injuste, illégitime et illégale infligée par le CIJ (Conseil International des Jeux) à l’encontre de l’équipe féminine de volley-ball ! »
Le premier édile de Saint-Leu dit avoir littéralement » bondi devant les informations télévisées où des membres du CIJ auraient, lors de leur conseil, insinuer que La Réunion n’est pas française ». Une « remise en cause de notre identité nationale scandaleuse » selon lui.
Réintégrer Myriam Kloster et l’équipe de la Réunion
Thierry Robert demande ainsi au CIJ de revenir immédiatement sur cette exclusion et réintégrer la volleyeuse, d’annuler la disqualification de l’équipe « pour se conformer aux règles sportives auxquelles elle a souscrite en conformité avec la Charte Olympique et ses textes d’application tels que prévus dans ses propres statuts ».
Il souhaite également que le CIJ prenne « les dispositions utiles afin d’identifier parmi ses membres les auteurs de propos méprisants pour l’identité française des Réunionnais »: « Ces propos constituent une véritable agression envers notre pays, envers la population. Le CIJ doit exiger des auteurs de tels propos leur démission immédiate. »
D’après Thierry Robert, le fair-play sportif doit rester « la première priorité des décisions et du fonctionnement du CIJ ».
« Faute de responsabilisation immédiate du CIJ, je demanderai à la Ligue Réunionnaise de Volley-Ball de saisir les instances sportives internationales compétentes, conclut-il. Je leur apporterai tout mon soutien et mon appui dans cette démarche pour faire valoir leur droit et réparer le préjudice subi qui est aussi celui de toute La Réunion injustement lésée sur le plan sportif au motif de possibles manoeuvres politiques douteuses. »