Après avoir reçu le feu vert de Silvio Berlusconi, les nationalistes de la Ligue et les antisystèmes du Mouvement 5 Etoiles s'apprêtent à diriger l'Italie. Ils devraient présenter dans les jours à venir la composition de leur futur gouvernement et surtout le nom du futur Premier ministre, qui détient le véritable pouvoir dans le pays. Le président de la République n'a lui qu'un rôle symbolique, même s'il détient un droit de véto sur certaines lois.
Mais avant de révéler le nom des ministres, les deux partis ont présenté leur contrat de gouvernement qui prévoit notamment d'interdire aux aux personnes déjà condamnées et aux francs-maçons d'y participer.
Le Grand Orient d'Italie a immédiatement publié un communiqué dans lequel elle qualifie cette clause de "contraire aux principes constitutionnels" et déplore en effet une décision qui selon lui "rappelle les lois fascistes que les francs-maçons ont toujours dénoncées et qui représentent les conséquences d'une dérive liberticide dangereuse".
Et le communiqué de poursuivre par une mise en garde adressée à la future coalition : "Ceux qui pensent utiliser à des fins politiques une campagne contre les francs-maçons pour les empêcher d'exercer leurs droits élémentaires, commettent un abus et devront en assumer la responsabilité".
Mais avant de révéler le nom des ministres, les deux partis ont présenté leur contrat de gouvernement qui prévoit notamment d'interdire aux aux personnes déjà condamnées et aux francs-maçons d'y participer.
Le Grand Orient d'Italie a immédiatement publié un communiqué dans lequel elle qualifie cette clause de "contraire aux principes constitutionnels" et déplore en effet une décision qui selon lui "rappelle les lois fascistes que les francs-maçons ont toujours dénoncées et qui représentent les conséquences d'une dérive liberticide dangereuse".
Et le communiqué de poursuivre par une mise en garde adressée à la future coalition : "Ceux qui pensent utiliser à des fins politiques une campagne contre les francs-maçons pour les empêcher d'exercer leurs droits élémentaires, commettent un abus et devront en assumer la responsabilité".