
Après quelques rebondissements, la compagnie Int’Air Iles est finalement autorisée à desservir La Réunion à partir du 23 janvier prochain. L'annonce a été faite ce lundi par Abdallah Saïd Sarouma, le vice-président en charge du Transport, à l'occasion d'une conférence de presse donnée à Moroni, rapportent les médias locaux. Concernant Mayotte, la première desserte commerciale a eu lieu ce mercredi, indique le Journal de Mayotte.
Cette nouvelle fait suite à un bras de fer entre la France et les Comores. Alors que l'aviation civile française avait refusé à la compagnie d'atterrir à Pierrefonds avec son A320 en provenance de Moroni, le gouvernement comorien était allé jusqu'à projeter de suspendre les programmes de vol d'Air Austral et d'Ewa Air sur son territoire.
"Int’Air Iles avait commis une première erreur, celle de commencer à commercialiser des billets avant l’obtention des autorisations commerciales", a souligné le directeur général de l’Anacm, Jean-Marc Heintz, dans des propos rapportés par le journal Al Watwan. "Ces erreurs ont été corrigées tout récemment et l’Anacm a pris toutes les dispositions nécessaires pour appuyer Int’Air Iles", a-t-il précisé.
Toutefois, l'accord pour un atterrissage à Pierrefonds n'a toujours pas été obtenu. Nos confrères d'Al Watwan indiquent que l’Etat français a demandé à ce que les vols d’Int’Air Iles se posent dans un premier temps à Roland Garros, le temps que l'aéroport du Sud, qui ne dispose pas des moyens nécessaires pour gérer les rotations de l'A320, s'organise.
Cette nouvelle fait suite à un bras de fer entre la France et les Comores. Alors que l'aviation civile française avait refusé à la compagnie d'atterrir à Pierrefonds avec son A320 en provenance de Moroni, le gouvernement comorien était allé jusqu'à projeter de suspendre les programmes de vol d'Air Austral et d'Ewa Air sur son territoire.
"Int’Air Iles avait commis une première erreur, celle de commencer à commercialiser des billets avant l’obtention des autorisations commerciales", a souligné le directeur général de l’Anacm, Jean-Marc Heintz, dans des propos rapportés par le journal Al Watwan. "Ces erreurs ont été corrigées tout récemment et l’Anacm a pris toutes les dispositions nécessaires pour appuyer Int’Air Iles", a-t-il précisé.
Toutefois, l'accord pour un atterrissage à Pierrefonds n'a toujours pas été obtenu. Nos confrères d'Al Watwan indiquent que l’Etat français a demandé à ce que les vols d’Int’Air Iles se posent dans un premier temps à Roland Garros, le temps que l'aéroport du Sud, qui ne dispose pas des moyens nécessaires pour gérer les rotations de l'A320, s'organise.